Né dans les Hautes Pyrénées en 1969 dans un milieu relativement pauvre (père simple gardien de la paix, mère femme de ménage) je n’ai que peu de liens avec mon père (constamment en déplacements) et mon frère aîné de 9 ans plus âgé.

Ecole primaire dans le public, finissant par un année en CM2 sous l’autorité d’un dictateur qui ne m’a rien appris (mais alors, rien !), je poursuis au collège avec la peur au ventre tous les jours, face à un encadrement plus que laxiste et des élèves de 3e, plus que dissipés. Le lycée me délivre de cet enfer et me permet de faire des bons en maths et en physique (bien que je fusse en section littéraire). Le Bac en poche à 17 ans, j’enchaîne avec la fac de droit de Pau et fais choux blanc (il y avait quand même 75% d’échecs en 1re année). A cette époque mes parents se haïssent plus que jamais, j’en souffre, en silence, énormément

Mon passage en 1992 à l’armée m’a insufflé beaucoup de fierté car je n’avais jamais reçu autant de « considération » de la part des officiers, gens d’honneur, particulièrement intelligents.

1993 : Je mets un pied définitif dans le « système », et donc dans la tombe : je pars pour Paris, reçu à l’Ifsi de Bicêtre, où le formatage des esprits n’a d’égal que l’incompétence des cadres de terrain à manager des élèves intelligemment. Résultat, pour la première fois et l’unique, je suis viré d’une école (où j’ai pris quand même 17/20 en stage de psychiatrie, 15/20 au stage en maison de retraite et 14/20 en médecine interne)
 
1995/96 : formation continue d´un an au BTS info de gestion, fortes perturbations dues aux attentats et aux grèves, aux problèmes de discipline et aux absences des profs.
Je trouve là une branche professionnelle qui me plaît beaucoup, alors que l’Internet en était à ses balbutiements. Je resterai très accro à l’analyse de systèmes d’informations et à la programmation objet.

Sans travail je suis au RMI loin de ma famille (sauf mon frère aîné qui est très dur avec moi), je persiste jusqu’en 1999 (avec un passage catastrophique d´un mois en SSII à la Défense), puis je sombre dans la dépression, dont je ne me remettrai jamais.

Je trouve le courage de me faire opérer les yeux au laser Lazic à la clinique Rothschild.

Revenu en 4e vitesse dans le Sud pour y soigner mon esprit (vu que Paris et ses médecins, c’est pas la panacée), je reprends aussitôt que possible le travail pour me remettre quelque chose sous le neurone, afin de me prouver que je ne suis pas cuit. J’enchaîne par un diplôme d’ambulancier en 2002 à Toulouse, après avoir appris le Java, le Javascript et autres technologies en 2001 à Balma. Cette carrière d’ambulancier en soubresauts m’aura appris beaucoup sur le paramédical vu par des exploitants sans aucun scrupule.

Ce qui a déclenché mon livre, c’est mon embolie pulmonaire en décembre 2007, un mois après ma dernière expérience professionnelle, au CNES, comme opérateur de saisie, sous les ordres d’une espèce de folle, comme on en voit malheureusement de plus en plus.

Toute la trame de la réflexion qui a conduit à mon livre se situe dans les années qui ont suivi, où toute mon inspiration a été puisée dans ce que je savais déjà, sans forcément en avoir conscience, et dans mon environnement direct, à Toulouse, dans la pauvreté sociale extrême de mon quotidien, ce qui paraît parfaitement acceptable au yeux de la majorité des gens.

Cette ville ne fonctionne plus du tout aux sentiments, comme dans les années 80 et 90, mais uniquement à l’efficacité, ce qui serait parfaitement acceptable, s’il existait moult structures pour se rencontrer entre personnes PLUS OU MOINS COOPTES, de façon à faciliter les rencontres, les échanges, les amitiés et les mariages (comme les clubs privés en Angleterre). A ma connaissance, on ne sait pas faire ce genre de choses en France.

Razika Adnani, membre du Conseil d'orientation de la Fondation de l'Islam de France et du conseil scientifique du Centre civique de l'étude du fait religieux, écrivaine, philosophe et islamoloque débute sa carrière en tant que professeur de philosophie. Elle publie en 2001 et 2003 deux précis de philosophie, El Kafi fi el Falsafa, sur l'art de disserter en philosophie suivis chacun d'un dictionnaire de philosophie. Ces ouvrages destinés aux lycéens sont des bestsellers.

En 2005, elle quitte l'enseignement pour se consacrer définitivement à la réflexion et à la recherche.

En 2011, elle publie un ouvrage en arabe intitulé Le blocage de la raison dans la pensée musulmane est-il bénéfique ou maléfique à l’islam. Paru chez Afrique Orient (Maroc), le livre connaît un vif succès dans tout le monde arabe et arabophone. 

Razika Adnani publie en 2013 La nécessaire réconciliation (Dalimen, Alger), brillant essai sur la question de la violence, la relation à l’autre, à soi et la relation avec l’histoire. À partir de l’étude de la société algérienne, elle forge sa propre théorie de « la moralisation de la violence ». Cette œuvre décisive paraît à nouveau en 2014 chez UPblisher, sous forme numérique et imprimée, afin de la rendre accessible au plus grand nombre. Elle est désormais disponible dans le monde entier.

À partir de 2014, elle est appelée comme expert sur des sujets relatifs à l’Islam. Elle anime de 2014 à 2016 un cycle de conférences à l'Université Populaire de Caen sur le thème « Penser l'islam » ; de 2015 à 2017, elle intervient lors du séminaire « Les nouveaux fondamentalistes » du Collège des Bernardins ; elle collabore avec le Ministère de la Justice dans le cadre de la formation des cadres qui prennent en charge des jeunes radicalisés ». En 2017, elle intègre la Fondation de l'islam de France.

En 2015, elle fonde, organise et anime les Journées Internationales de Philosophie d'Alger, évènement dont le succès est confirmé par une deuxième édition en 2017.

Elle publie en 2017 Islam : quel problème ? Le défi de la réforme (UPblisher - Paris).

Elle publie en 2021 un recueil de textes Pour ne pas céder, textes et pensées (UPblisher - Paris).

Elle est l’auteur de nombreux articles publiés par le journal algérien Liberté, les journaux et magazines français Le Figaro ou L’Obs, et intervient fréquemment lors de conférences ou tables-rondes, tant en France qu’en Algérie.

Sa lucidité et son franc-parler font de Razika Adnani une philosophe ancrée dans son époque, un esprit libre, résolu et engagé. Son expertise alliée au goût du dialogue ont conquis l'attention du public, de toutes confessions ou opinions.

Pour en savoir davantage razika-adnani.com

Regardez la vidéo de la conférence « Islam entre organisation de la société et spiritualité »
le 19 janvier 2018 à l'Université de Nantes

Découvrez la vidéo de présentation au Collège des Bernardins du 15 mars 2017 !

Quelles réponses à la crise des nouveaux fondamentalismes ? Par Razika Adnani from Collège des Bernardins on Vimeo.

Conférences/Événements

Maghreb-Orient des livres 2018, Paris du 2 au 4 février 2018, Mairie de Paris

« La réforme de l'islam entre nécessité et obstacles », Nantes le 9 février 2018, Université de Nantes

« Crise de l’islam : le soufisme est-il une solution ? », Nantes le 2 février 2018, Université de Nantes

« Islam entre organisation de la société et spiritualité », Nantes le 19 janvier 2018, Université de Nantes

« La problématique de la pensée dans la pensée musulmane », Nantes le 12 janvier 2018, Université de Nantes

« La pensée en tant que source de connaissance : problématique fondamentale dans la pensée musulmane », Paris le 12 juin 2017, Intermèdes - espace Georges Bernanos 4 rue du Havre 75009 Paris

Collège des Bernardins, Les nouveaux fondamentalistes, Paris 15 mars 2017

Journées Internationales de Philosophie d'Alger, 11-12 mars 2017

Université Populaire Caen, « Penser l’Islam » La question d'autrui dans la pensée musulmane, Caen 4 juin 2016

Université Populaire Caen, « Penser l’Islam » Le soufisme est-il une solution ? Caen 2 avril 2016

Université Populaire Caen, « Penser l’Islam » Les musulmans au carrefour de l’histoire, Caen 26 mars 2016

Collège des Bernardins, Les nouveaux fondamentalistes, Paris 12 novembre 2015

Journées Internationales de Philosophie d'Alger, 17-18 octobre 2015

Ouvrages

Pour ne pas céder, textes et pensées, UPblisher, Paris, 2021

Islam : quel problème ? Les défis de la réforme, UPblisher, Paris, 2017

La nécessaire réconciliation, UPblisher, Paris, 2014. Deuxième édition 2017

La nécessaire réconciliation, Dalimen, Alger, 2013.

Le blocage de la raison dans la pensée musulmane, Afrique Orient, Casablanca, 2011.

El Kafi fi el falsafa, Raïhana, Alger, 2003.

El Kafi fi el falsafa, Raïhana, Alger, 2001.

Articles

"Réformer l'islam de France ou réformer l'islam tout court" Le Figaro, 28 février 2018

"Histoire et violence au quotidien, un couple inséparable" publié dans Les Cahiers de l'Orient numéro 128 

Référendum en Turquie : « Erdogan, la revanche des conservateurs islamistes »  Le Figaro, 21 avril 2017

"Charlie Hebdo" provoque, c'est vrai. Mais les caricatures ne justifient pas la violence L'Obs, 19 janvier 2015

Des Algériens s'affrontent à Guerdaia : La dichotomie entre arabes et berbères est-elle réelle ? Avril 2014.

De la moralisation de la violence : pourquoi la violence se généralise-t-elle ? Juin 2013.

Le mariage temporaire : que disent les coutumes, la loi et la religion ? Mars 2012.

La raison : amie ou ennemie de la religion ? Juillet 2011.

Le relativisme : pourquoi est-il contesté ? Juillet 2011.

Le relativisme : l'autre face du principe de l'unicité, juillet 2011.

La justice, l'égalité et la liberté : Les jeunes ont-ils le droit de les revendiquer ? Juillet 2011.

De l'objectivité et de la subjectivité dans la lecture des textes coraniques, septembre 2010.

La responsabilité financière de la femme : une réalité qui s'impose, août 2010.

Le partage successoral : des questions en quête de réponses, août 2010.

La pensée musulmane : une seule problématique, celle de la source de la connaissance, août 2010.

AU SUJET DE L'AUTEUR

riginaire D’Azrou, ville joyeuse du Moyen Atlas, Brahim AGHZAF a, surtout, vécu à Aït Ishaq, depuis sa plus tendre enfance, à partir de l’âge de 6 ans, avec un intermède de quelques années à Lekbab, Hammam Zayane[i], puis retour au pays natal: Azrou. Avant de regagner les villesMeknès et Fès, pour poursuivre des études anglaises au Lycée Moulay Ismail. Avant de rejoindre l’université Sidi Mohamed ben Abdellah de Fès. Il avait fait ses études secondaires au lycée Abou EL Kacim Azzayani de Khénifra, au Lycée Tarik Ben Zyad d’Azrou, puis, au Lycée Moulay Ismaïl de Meknès. Ayant obtenu son baccalauréat en 1979. Ensuite, l’école des rédacteurs administratifs, en 1986; Le C.P.R. 1988, il exerce comme professeur de français au collège Homan EL Fatouaki .Formation continue à l’Ecole Normale Supérieure de Meknès. Il revient à M’Rirt comme professeur du Second cycle, au lycée Oum Rabiaâ.

Diplômé d'une université en Grande Bretagne, j'ai rencontré beaucoup de gens de différents pays au contact desquels mon expérience de la vie s'est enrichie. La vie en général est une grande école, l'apprentissage est permanent et sans interruption. Passer à travers la vie, c'est passer à travers d'innombrables expériences. Le seul inconvénient est que le cobaye… c'est toi même.

Tout être est un puits sans fond de savoir, il faut seulement être capable de le faire remonter et le faire apprécier à soi même et aux autres.

Témoin quand j'étais enfant de la fin de la guerre d'Algérie et de la guerre civile d'Algérie en tant qu'adulte, je suis profondément touché par la souffrance humaine.

                                                                   Mo Bena.

André-Robert Andréa de Nerciat est un aventurier et romancier français, connu pour ses œuvres libertines. Il naît à Dijon en 1739 et meurt à Naples en 1800.

 À vingt ans, il rejoint l’armée. Rendu à la vie civile fin 1775, il mène alors des missions secrètes. Homme impécunieux mais pragmatique à une époque politiquement troublée, il est difficile de connaître avec certitude contenu et commanditaires de ses missions. Entre 1780 et 1783, on le retrouve bibliothécaire, puis intendant des bâtiments de princes allemands. En 1783, la France l’envoie en mission en Hollande. Son rôle pendant la révolution reste incertain : émigré, espion, pour qui ?, « qui ? » s’entendant au pluriel ! Après maintes péripéties, le voilà à Naples auprès de la reine Caroline : en février 1798, elle l’envoie auprès du pape, au moment même où Rome tombe aux mains des armées françaises. C’est le coup de trop. Il croupit dans un cachot du Château Saint Ange au-delà de l'évacuation de Rome par les Français. Enfin élargi, vers 1800, il retourne à Naples, où il meurt des suites de sa détention, dépouillé de tous ses papiers, parmi lesquels se trouvaient, peut-être…, les manuscrits de quelques ouvrages.

 La littérature est précisément la seule fidélité qui a accompagné sa tumultueuse existence. C’est un lecteur passionné et un auteur de romans libertins, pour l’essentiel. À partir de 1775, il connaît son plus grand succès avec Felicia ou Mes Fredaines. S’ensuit une série d’œuvres de même nature sans qu’aucune n’atteigne le succès de Felicia. Son roman posthume, le Diable-au-corps, qualifié par un biographe du XIX^e siècle d’« ouvrage infâme par son obscénité » met la touche finale à sa réputation sulfureuse.

 Pourtant, Nerciat ne la mérite pas. Bien au contraire, il a le libertinage « joyeux ». Ses œuvres présentent un subtil dosage d'humour, d'évasion et d'élan charnel ; chez lui, nulle trace de violence, de domination ou de cruauté. En cela, ses œuvres s’opposent diamétralement à celles de Sade. Là où le marquis est le seigneur d’un sombre crépuscule, Nerciat est le maître d’une aube rieuse. À la suite de Stendhal, Apollinaire ou Baudelaire, il faut découvrir ce « psychologue subtil et raffiné, esprit dégagé de tous les préjugés » (Apollinaire).

Né le 8 février 1930, Chérif Arbouz est originaire de Tizi Rached, Wilaya de Tizi Ouzou. Il vit la plus grande partie de son enfance à Taourga, ex Horace Vernet, petit village de réfugiés alsaciens à 80 km d’Alger où son père est instituteur.

Bachelier, il entre dans la vie active comme instituteur, tout en poursuivant ses études à la Faculté des Lettres d’Alger. Après une interruption pendant la guerre d’Algérie, il obtient en 1966 son diplôme de fin d’études de l’École Normale Supérieure de Saint Cloud, Paris.

Toute sa carrière se déroule à Alger au service de l’Éducation Nationale puis de l’Enseignement Supérieur. Spécialisé dans l’enseignement par les moyens audio-visuels, puis informatiques, il œuvre au sein de l’Institut Pédagogique National où il est co-auteur de nombreux ouvrages scolaires et réalisateur de productions filmiques, vidéographiques ou informatiques à caractère didactique. Retraité, il exerce jusqu’en 2008 une activité de consultant puis de formateur, en particulier, dans le domaine de l’enseignement à distance à base de multimédia.

Esprit curieux, Chérif Arbouz partage dans ses écrits ses passions, qui vont des traditions orales et légendes ancestrales de son pays aux recherches les plus avancées sur la cybernétique et le cerveau. Épopées médiévales, voyages cosmiques, aliens et robots sont autant de prétextes pour réfléchir à la nature de notre humanité, l’évolution des sciences avec comme toile de fond… l’éternité.

Chérif Arbouz publie chez UPblisher huit ebooks :

• 4 romans de Science-Fiction réunis sous le thème des « Épopées cosmiques » : La fantastique Odyssée, La grande Énigme, La planète des Smarjiks et L'Arche du Salut

• Un recueil d’anecdotes et de récits C’était en Algérie au temps des colonies,

• Un roman historique Le Seigneur aux panthères,

• Sa sélection de  Fables et contes de Kabylie, et

• Un essai sur la langue et la grammaire amazighes  Écrire l'amazigh.

Lire la dernière tribune de Chérif Arbouz sur Science-Fiction et réalité

Lire l’interview exclusive de Chérif Arbouz sur son inspiration et ses passions

Étudiante en psychologie, Lou Aubry aime lire depuis toujours. Baignée d’histoires, elle s’en raconte et les écrit. Elle a ainsi reçu un premier prix catégorie adolescents pour une nouvelle « L’espoir se cache là où on ne l’attend pas » à 17 ans. Fantasy et policier sont ses domaines de prédilection : ses auteurs préférés sont Terry Goodkind, Pierre Bottero et J.R.R. Tolkien.

Claude Avermont est un auteur francophone.

Admirateur de La Fontaine (1621-1695), il lui « emprunte » certains de ses contes tombés en sommeil, les transpose, les ranime.

Fin lettré, fidèle mais libre, il prend plaisir à réinterpréter ces histoires universelles, nous surprend, nous fait sourire, réfléchir et rend ainsi le meilleur des hommages au poète du Grand Siècle.

Depuis toujours je me suis intéressée aux différentes cultures, aux légendes, aux mythes, aux contes, de même que j’aimais observer, curieuse de tout. Au fil de tout cela, j’ai élaboré une réflexion qui participe à ma vision du monde. Ces vagabondages culturels m’ont naturellement inspirée lorsque j’ai commencé à dessiner, sculpter, peindre, écrire.

C’est pourquoi, ma démarche s’inscrit dans un univers onirique, fondé sur les contes, légendes et autres mythologies. Cela avec une recherche des thèmes récurrents, mais aussi universels, et leurs projections sur le présent ou le futur. Alors, de façon tantôt abstraite, tantôt figurative, souvent un peu surréaliste, mon travail reflète cette vision de notre monde, avec un certain recul, au-delà des apparences.

Au fil de mes écrits, comme de mes réalisations, des personnages passent, vont et viennent, semblables et autres, en reflets éclatés en kaléidoscopes, au gré de leurs histoires tissées à l’histoire dont, peu à peu, elles deviennent la trame. Au travers de mes écrits, de mes réalisations, je souhaite exprimer la lumière, comme le mouvement, le rythme ... la musique de la vie.

https://mb-couleursetmots.blogspot.fr/

William Spare  se considère avant tout comme un citoyen du monde, ayant vécu une partie de sa vie en France, mais aussi au Canada. Son imagination est sans limite, il est souvent précurseur dans ses idées,  son rapport intime et passionné avec la beauté intrinsèque du monde, de la vie et son opposé, vécu par tant d’épreuves, lui font décrire et analyser très souvent les rapports de ses personnages avec un grand recul. Enthousiasmé par la spiritualité, la musique, les rapports humains, et toujours à la découverte de nouvelles sensations lui procurant la paix intérieure, il essaie passionnément de nous les faire partager, ou du moins, de créer en nous un début de réflexion sur notre existence et ce qui nous entoure. Autodidacte de base, dans bien des domaines, il est toujours à l’écoute de l’univers qui nous berce, et son regard tente de percevoir le fond des choses et non de  s’arrêter à leurs surfaces. N’hésitant pas régulièrement, à bousculer les acquis et à déranger notre petit confort quotidien. Ses romans utilisent une narration dynamique, créent de multiples rebondissements, et parviennent  toujours à vous surprendre, le tout n’étant qu’un agréable véhicule pour mieux se plonger dans la philosophie de ses personnages.  

Je suis une fille des corons qui a grandi simplement et qui a toujours été déterminée dans ses choix !

Né en République démocratique du Congo sous le règne du maréchal Mobutu. Jules Kikomba est un libre penseur, ami des enfants désesperés et des malades. Pour l'auteur, publier son livre n'est pas une réalisation d'un rêve mais marque le debut de sa lutte contre l'injustice et l'égoïsme des politiciens. 

L’émergence d’oeuvres transmédia questionne ma discipline et pratique professionnelle dans le monde de l’éducation.

J’exerce une veille documentaire proactive sur les contenus transmédia et les nouvelles formes d’apprentissages afin d’anticiper les changements dans l’enseignement et la formation. Ma réflexion actuelle s’appuie sur une curation régulière confortant le choix d’un nouveau cap professionnel comme formateur transmédia dans le cadre d’une formation au e-learning et la facilitation d’ateliers avec Transmedia Ready.

Par ailleurs, j’exerce mon activité de professeur documentaliste, certifié depuis 2003, au sein de l’enseignement catholique depuis 1994. Je poursuis actuellement à l'Université de Poitiers un M2 Info Com, parcours Ingéniérie, Médiation, e-Education. Dans le cadre de mon stage de master au Lieu Multiple, pôle numérique de l'Espace Mendès France, je suis le projet "géolocalisation et création sonore". Ce qui me permet de développer une réflexion autour des apports de la réalité sonore augmentée géolocalisée.

Ancien élève du CUEJ (Centre Universitaire d’Enseignement du Journalisme) de Strasbourg, je suis titulaire d’une Maîtrise des sciences et technologies – spécialité journalisme et techniques de l’information, option presse écrite.

J’alimente ma réflexion par la pratique, c’est pourquoi, en tant que consultant, expert, médiateur et curateur, je collabore depuis 2010 avec Karine Halpern, fondatrice de l’association Transmedia Ready, avec laquelle nous développons et animons des projets collaboratifs, notamment de recherche appliquée indépendante sur le concept transmédia. J’ai participé à de nombreux événements et continue une coopération assidue aux travaux d’expérimentation :

– Le 18 décembre 2010 Transmedia (Brain) Storm Live à la Générale à Paris (j’étais associé à la préparation) .

– Les 7 et 8 mai 2011 au TransmediaCamp de Marseille où j’ai présenté l’outil de curation Pearltrees avec Antoine Msika alors community manager de cette société.

Avec Karine Halpern, j’ai été associé en 2012 à à la traduction des textes en français de Robot Heart Stories, un jeu en réalité alternée pédagogique associant deux écoles de Montréal et Los Angeles conçu par Lance Weiler et Janine Saunders .

Enfin j’ai collaboré comme mentor et curateur en juin 2014 au « Transmedia Mix Education » (communiqué de presse), atelier l’IRI – Institut de Recherche et d’Innovation du Centre Pompidou, avec comme thème « Les acteurs du changements et l’Éducation”.

 “Transmédiateur, un nouveau rôle pour l'Enseignant - une expérience de terrain » est mon premier ouvrage et plusieurs ateliers sont en préparation.

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sur mon blog Narration transmédia et Formations

sur Twitter : @EmmanuelBethoux

sur mes pages Scoop.it Les ressources du Transmédiateur et Apprenance transmédia et Education


En savoir plus :

Le site de l'association Transmedia Ready  et Transmedia Ready/Emmanuel Bethoux 

Né le 20 Octobre 1923 à Bordeaux, orphelin de père depuis l’âge de 14 ans, l’auteur vit seul avec sa mère les années de guerre et d’occupation depuis 1941. D’un tempérament plutôt vindicatif et contestataire il ne peut rester statique. La soumission à l’occupant ? Pas question. Le hasard faisant bien les choses, il a connaissance d’une filière clandestine…qui amènera à une arrestation périlleuse. Après sa libération, et suite à des contacts divers, il rejoint St Raphaël sur la Côte d’Azur pour un stage préparatoire afin de s’engager pour combattre pour la liberté.

Historien de la mer, spécialiste de l'activité portuaire de Bordeaux.

Ancien courtier maritime, fondateur et ancien président du Conservatoire de l'estuaire de la Gironde (France), Daniel Binaud est le Président fondateur du Collectif Bordeaux - Marinopole , une association dont la vocation est de ranimer la mémoire maritime de Bordeaux.

Il a publié : Le Cheval Américain, 4 siècles d’histoire du Nouveau Monde (SNPM 1981), Les Corsaires de Bordeaux et de l'Estuaire (Atlantica, 1999), Blaye, Citadelle de Bordeaux.

Né à Bordeaux, Philippe Binaud, va publier très bientôt "Compromis", pièce de théâtre en lecture numérique sur UPblisher.com

Études médicales à Bordeaux de 1973 à 1979 (chirurgie dentaire)

Exercice libéral en cabinet dentaire jusqu´en 1993

Exercice salarié pour l´Assurance maladie depuis 1994

Cours de théâtre ACTORAT chez Jean-Paul VUILLIN (1996-1997)

Participation en tant qu´acteur à 2 courts métrages de fin d´étude de Institut International de l´Image et du Son (3IS) en 1997 et 1998

Participation en tant qu´acteur à un clip vidéo en 2011

Écriture de pièces de théâtre, sketches, nouvelles et fables depuis 2007

Parler, écrire, chanter, les grandes étapes de la vie de Gilles Bojan ont toujours été émaillées par des histoires singulières racontées avec ferveur, empathie et émotion.

Né à Grenoble en 1961, Gilles Bojan se prend d’abord de passion pour la radio : les plus prestigieuses stations - France Inter, France Bleu, RFI, RTL - ouvrent leurs antennes à cet animateur hors pair qui séduit des millions d’auditeurs grâce à son humour, sa proximité et sa voix chaude, identifiable entre toutes. Au fil du temps, le stylo remplace le micro et les récits naissent au fil de ses voyages en métropole et en outremer. Raconter… toujours raconter…

De 2005 à 2014, Gilles publie trois romans et un récit « Les Anges Noirs » (Atlantica), « Le But Ultime » (Homme Vrai), « La 89^ème » (Ramsay) et « Une île Dans le Sang » (Orphie). Largement salués par les médias, ils connaissent un franc succès et permettent à Gilles d’être reconnu bien au-delà de La Réunion, son île d’adoption depuis 2006, comme un auteur contemporain au style à la fois percutant et émouvant.

« Origami », son nouveau roman, paraît en version numérique chez UPblisher et marque une étape déterminante dans le parcours de ce conteur toujours enclin à capter notre attention. Et histoire de ne pas s’arrêter en si bon chemin, Gilles écrit désormais pour une autre voix, celle de la chanteuse Franco-Américaine Lisa Doby. Trois chansons en français à retrouver dans l’album « So French ». L’une de ses fiertés : figurer aux côtés d’un certain Boris Bergman, le parolier de Bashung. Encore une nouvelle forme d’expression à inscrire au répertoire de cet auteur aux talents multiples.

L’auteur est née en Tunisie, un peu avant l’indépendance. Après des études universitaires à Paris, elle entre à la Société française de production. Artiste dans l'âme, elle quitte les studios de la télévision pour la scène et  voyage à travers le monde avec ses chansons pour mot de passe.  En 1992, après une rencontre extraordinaire  avec des chamans philippins à Baguio,  elle témoigne du phénomène psi en tant que journaliste. Sa démarche artistique prend une dimension spirituelle. Elle pratique la méditation et découvre le pouvoir de guérison des mantras. A partir de 1996,  elle propose des stages d’initiation à la technique vocale à travers une méthode de yoga de la voix basée sur le chant des voyelles sacrées. Dans le prolongement de cette recherche, l’étude de l’alphabet sacré hébraïque s’impose progressivement à elle.

Catherine Boullery naît dans la banlieue parisienne (93) en octobre 63. Toute petite déjà, elle veut enseigner et, par vocation, elle s'engage dans cette voie, optant finalement pour la filière sciences physiques, après de nombreuses hésitations. Pendant ses études, elle profite de ses moments de liberté pour voyager : Autriche, Cap nord, Crète, Bali, Pérou - Bolivie - Argentine, Islande, Chine… et assouvir une de ses passions : la photo.

Professionnellement, elle débute sa carrière d'enseignante au lycée Claude Debussy de Saint-Germain-en-Laye, avec une première S dont, aujourd'hui encore, elle conserve un souvenir ému. Ensuite, elle passe au collège Jean-Jaurès à Poissy avant d'être en poste au lycée Évariste Galois de Sartrouville. Dans le même temps, elle se perfectionne en pédagogie, communication et s'investit pendant une année dans la formation pour jeunes adultes. Quand sa famille s'agrandit, elle recentre sa vie sur elle et ouvre de nouvelles perspectives, comme celle de créer des histoires qu'elle raconte à ses enfants ou simplement à elle-même. Elle ne songe même pas qu'elle pourrait écrire, son temps est consacré à d'autres bonheurs…

En 2008, ses enfants ont grandi et sa vie lui laisse un peu de liberté. En discutant avec une amie, elle lui explique la nouvelle d'idée d'histoire qui a germé dans sa tête. Cette dernière s'enthousiasme et s'exclame : « Mais pourquoi tu ne l'écris pas ? Ce serait super ! &raquo Catherine profite donc des vacances d'hiver pour se lancer, comme ça, juste pour voir et elle s'amuse, non, mieux, elle se régale ! Communicative dans sa nouvelle passion, elle partage ses premiers chapitres avec une collègue, aucunement adepte de fantasy, mais très intéressée de participer à cette aventure, autant pour sa réalisation que pour son contenu. Cette complicité extraordinaire ne se démentira jamais au cours des neuf mois qui suivront et qui suffiront à achever la première partie de la saga d'Aila.

À présent, alors que l'ebook est paru, l'univers d'Aila a pris vie, vous pouvez découvrir le site de la saga d'Aila et le blog de Catherine, mais aussi le tome I, le tome II, le tome III, le tome IV, le tome V , le tome VI, le tome VII et le tome VIII.

Jean Louis Bourdon né le 14 octobre 1955 à Paris est l'auteur de nombreuses pièces, notamment JOCK/ TEDY/ L'ETRANGE DESTIN DE MetMmE WALLACE/ UN MONDE EPATANT/VISITE D'UN PERE A SON FILS/ ...... une grosse vingtaine de pièces à ce jour.

Il est l'un de nos grands auteurs Français, reconnu par les plus grands et la critique, il a été monté et joué par de célèbres artistes à de nombreuses reprises en France et à l'étranger.

Il est également romancier, metteur en scène et peintre.

L'an de grâce 1976, le vingt-septième jour du mois de mai, vit mon arrivée parmi les vivants. Il faisait très chaud et il était temps de prendre l'air!

C'est alors que je grandis en Eure et Loir, à Châteaudun, petite ville de rien du tout qui pourtant portera mes meilleurs souvenirs d'enfance et d'adolescence. Mes parents étaient de classe moyenne et mon éducation alla dans ce sens. Ils divorcèrent lorsque j'eus 7 ans, et là, il fallut rapidement trouver une échappatoire à ce monde qui ne m'offrait guère mieux que les pleurs de mes deux soeurs et les galères financières de ma mère...mon esprit se mit alors à voyager non seulement à travers le monde mais aussi à travers toutes sortes d'univers. Le cinéma, la bande dessinée, la musique, les romans etc...la moindre expression artistique me permettait de fuir ce monde qui s'était ecroulé lorsque mes chers parents se rendirent compte qu'ils avaient fait une erreur en se mariant!

Une scolarité moyenne sans trop forcer...jusqu'au baccalauréat que j'obtins sans me fatiguer. Mais après, que faire?

Une faculté de sociologie me permit de repousser le moment fort repoussant de rentrer dans l'ère des ennuis et des responsabilités en allant trouver un travail définitif.

Au bout de trois années improductives et aucun diplôme à la clé, il m'a fallu capituler face à mon destin, travailler avec les sans domicile fixe de ma ville...quatre années durant, j'ai accueilli la misère du monde dans une auberge sociale...trop pour moi et mon instabilité légendaire!

C'est la profession d'éducateur qui m'appela jusqu'à aujourd'hui...entre temps, je partis en Australie pendant quatre mois. L'envie de voir ce qui se passait à l'autre bout du monde avait été plus forte que tout le reste, et encore plus que de fonder une famille...

De retour en France, j'étais prêt! Fonder une famille, acheter une maison etc...et voilà, me voici ici, chez moi, une envie dévorante d'écrire...

Je suis né dans un village oublié par les siens. J'ai fait l'école indigène de 1952 à 1955, jusqu'au mois d'avril lorsque les Moudjahidines détruisirent l'école... c'était la guerre d'Algérie pour l'indépendance nationale. A l'indépendance de l'Algérie en 1962, j'avais 16 ans, je savais à peine lire et écrire le Français. En septembre 1962, je suis parti en France, où j'ai pu trouver du travail dans l'entreprise Fernand Genève à Ivry sur Seine à la fabrication de prototypes de camions Unic. J'y rencontrai un chef d'atelier Monsieur Fouchet qui m'aida à suivre des cours du soir dans un collège à Paris. Trois ans après j'obtins mon BP en dessin industriel. Juste après le grand espoir du mouvement de Mai 1968... exactement en mai 1969, je suis retourné en Algérie où je fus recruté chez Berliet Rouiba... Lorsque Berliet devint SNVI, je fus envoyé en Suisse pour une formation de programmeur en commande numérique dans une entreprise de fabrication de machines outil Tarex à Genève.

Je suis navigatrice, née en Bretagne, je vis sur un voilier depuis 35 ans. J'ai vécu beaucoup d'aventures de part le monde et les océans. La meilleure façon de faire partager mes expériences est d'écrire sous forme de romans. L'aventure, la mer, les bateaux, des femmes fortes, des endroits que j'ai bien connus.

Formation de comédienne  pour la comédie musicale (danse, claquettes, chant, comédie) 

Changement de cap, Annik Dufrêne passe derrière la caméra :  Casting Director 

En parallèle, toujours l’ écriture : Textes de chansons pour son répertoire personnel, Essai "Je parle à mon Bonnet"puis séries TV,  long métrage,  "La Martingale",  livre autobiographique "Au commencement j'avais une mère"- « DE L’AUTRE COTE DE LA MERE » Adaptation du roman pour le théâtre au Festival d’Avignon en 2009 - « HAPPY END.COM » Pièce de théâtre  au Festival d’Avignon En 2015

- « ALPHALAG ou Souviens-toi des étoîles Filantes » Pièce de théâtre en cours de montage.

Recueil de Nouvelles à publier

Hélène Lily Burstin, étonnante femme qui explore toutes les expressions artistiques où la vie, ses langages, l’absurdité et l’humour des relations humaines se laissent révéler.

L’année où Picasso nous a quittés, Hélène Lily était à Buenos Aires à l’Ecole Supérieure des Beaux-Arts. Parallèlement, elle enseigne les Lettres, une vocation qui ne la quittera jamais.

Très tôt, en Argentine et en Uruguay, le récital poétique est une habitude hebdomadaire induite par ses parents, fous de vie artistique. Ils lui ont insufflé le goût de cette Europe centrale d’où ils venaient, de l’opéra au music-hall. Mais c’est de la fréquentation de deux amis de son père : Harry Dressel, danseur et partenaire de Mistinguett et Jo Bouillon, l’époux de Joséphine Baker, tous deux installés à Buenos Aires, qu’elle a tout cueilli de la joie de vivre envers et contre tout.

Nourrie de l’œuvre de J. L. Borges, de Julio Cortázar et de leurs précieux conseils pour mordre dans la liberté d’être et de tout dire à sa manière, elle prend la plume…

Liée d’amitié dès 1983 au poète Jean Tardieu et saisie d’admiration pour Béatrice Arnac, sa plus grande diseuse, elle a gardé au sein de chaque mot écrit les ondes sonores de la voix humaine pour écrire avec l’oreille, avec l’écoute, certaine que la poésie sera toujours un théâtre intérieur.

Il y a aussi l’amitié et la gravitation de Paco Ibañez, une rencontre où s’entretient le combat culturel pour les poètes et l’amour de la liberté. De toutes ces années, ces décennies, demeure la ferme volonté de défense de la langue, qu’elle soit française ou castillane. Qu’elle soit conservée par le livre, le chant et la scène, mais qu’elle vive, qu’elle crie, qu’elle existe, ici et ailleurs.

Depuis, mille détours ont tracé la carte de ces vibrations qui traversent l’artiste au moment de sa création, mille résonances se sont confrontées au savoir patiemment acquis grâce au frottement à l’autre, mille prises de conscience se sont imposées pour arriver à ses œuvres telles qu’elles sont aujourd’hui.

L’amour et l’existence restent les nœuds fondamentaux qu’elle s’applique à dénouer avec persévérance. Hélène Lily écrit, - vous avez ici deux livres numériques d’un genre poétique qu’elle a appelé « Voix poétique » : Alicante et Malvoisie -, mais elle peint aussi, elle photographie et elle sculpte. La passion du public l’a amenée à créer un Centre d’Ecriture Epistolaire où elle anime des Salons Epistolaires, à Paris

Hélène Lily a remporté le Prix National de poésie Robert Desnos en 1986.

Retrouvez-la sur son site www.lilyburstin.over-blog.com

De formation pédiatrique, Claire Carrier est médecin du sport, psychiatre et psychanalyste. Enseignante, elle est titulaire d'un doctorat d'état en psychopathologie clinique.

Psychiatre attachée au Département Médical de l’I.N.S.E.P (Institut National du Sport et de l’Éducation Physique) de 1988 à 2000, elle se passionne pour les problématiques médicales, psycho-sociales, économiques et politiques liées à l'accompagnement des jeunes sportifs de haut niveau sélectionnés pour la haute performance défendant les couleurs de la France.

Son angle de vue est la performance humaine qui fait partie intégrante des nouvelles valeurs de notre société. Elle développe une décapante analyse critique de la performance élevée au rang d’un absolu sportif ou social. Ce faisant, elle ré-introduit une salutaire dose d’humanité dans un domaine désormais envahi par la technique et les enjeux financiers.

Elle est l’auteur de nombreuses publications médicales et articles pour des revues spécialisées à découvrir sur son site.

Médecin expert du sport, elle est interrogée sur le dopage et le suicide dans le sport de haut niveau, lors du film documentaire "Sport : Le revers de la médaille" de Xavier Deleu et Yonathan Kellermann diffusé sur Arte en juin 2014.

Crédit images à YUZU Productions et Découpages.

A l’issue d’une carrière d’ingénieur dans l’industrie aéronautique, Christian Eychloma décide de se consacrer à
l’écriture, et plus spécifiquement à la science-fiction dont il renouvelle le genre.

S’attachant à proposer à ses lecteurs des histoires originales porteuses de sens, il a à ce jour publié cinq ouvrages qui
ont connu un vif succès auprès des connaisseurs comme des simples curieux.

Après la Sorbonne et Sciences Po, Jean Marie Chazal a enseigné le français pendant de très nombreuses années

Il a touché à la politique en tant que Conseiller Municipal de Saint Nom la Bretèche. Il a également collaboré avec des maisons de production cinématographiques en tant que scénariste.

Jean-Marie Chazal est le gendre du Général Jacques Mitterrand. Il confie « Saccages » et « Le Marabout de l´Oued » à UPblisher, 2 livres numériques de factures très différentes !

Pierre Choderlos de Laclos est un général et écrivain français. Né en 1741, il entre à l’âge de dix-huit ans au corps royal du génie. Après quelques allers-retours entre la tribune et le canon, il meurt à Tarente en 1803 à la tête d’une brigade d’artillerie.

Militaire en temps de paix, le chevalier de Laclos trompe l’ennui par la littérature. Il lit beaucoup. Il écrit. Avec talent. Ses premières œuvres ne rencontrent aucun succès jusqu’à la publication des Liaisons dangereuses en 1782. Qualifié de « tableau de la plus odieuse immoralité », le roman propulse son auteur sur le devant de la scène littéraire et associe à jamais son nom au libertinage pervers d’un régime finissant. Bien qu’officiellement condamné, ce n’est pas le roman mais un essai très critique sur l’influence du génie de Vauban qui provoque son « exil » à Toul. Il y rencontre un familier du duc d’Orléans dont il devient secrétaire en 1789.

Cet emploi lui vaut de rencontrer tous les futurs grands hommes de La Révolution, de Mirabeau à Talleyrand. Devenu intime du prince, il est l’un des principaux instigateurs de la politique de la Maison d’Orléans qui tente alors d’obtenir la déchéance de Louis XVI et la régence du royaume. En juillet 1791, il entre au club des Jacobins ; il en est un des orateurs les plus en vue. Passionnément démocrate, il est le premier à lancer l’idée de l’assistance judiciaire gratuite. Nommé commissaire auprès de l’armée de Luckner (août 1791), sa réorganisation de l’artillerie est déterminante dans la victoire de Valmy remportée par Dumouriez. Promu général et nommé chef d’état-major de l’armée des Pyrénées, il est arrêté en mars 1793, suite à la trahison de Dumouriez ; puis libéré pour expérimenter avec succès un boulet creux de son invention ; puis arrêté de nouveau, après la chute du duc d’Orléans. Laclos ne retrouve la liberté qu’après la mort de Robespierre. Il est alors nommé secrétaire général de l'administration des hypothèques qu’il réforme avec efficacité.

S’ouvre alors la dernière phase de sa carrière militaire : sous le Consulat, il est réintégré (1800) avec le grade de général de brigade, il se distingue sur le Rhin et en Italie. Les fatigues, jointes à la faiblesse de l’âge, hâtent le terme de sa vie.

Quel destin singulier que celui de cet aristocrate, officier supérieur, artilleur créatif, démocrate, homme cultivé, passé à la postérité pour un seul ouvrage, tenu pour libertin, voire malfaisant, lui qui n’est ni l’un, ni l’autre. La gloire de l’œuvre a éclipsé celle de l’auteur tant elle est avant-gardiste : l’amour libéré de toute passion, la femme agissant à l’égal de l’homme, le plaisir jaillissant d’un jeu délibéré entre des personnages lucides et détachés. Révolutionnaire !

CVA lives in Paris and is an author of fiction books, based on the latest research in genetics and nanotechnology.

Laurent Coos est né le 27 mai 1970 à La Chaux-de-Fonds et vit en Suisse, en Gruyères. Enfant plutôt timide et rêveur, il se découvre une âme d’artiste en inventant des histoires « farfelues » et des bandes dessinées plutôt que d’étudier avec assiduité.

À la fin de sa scolarité obligatoire, il entreprend un apprentissage de « Gestionnaire en logistique », et obtient ensuite un diplôme de « moniteur de culture physique », sans vraiment trouver quelque chose qui corresponde à ses aspirations profondes.

Ce n’est que vers l’âge de trente ans qu’il se découvre un réel intérêt pour la lecture.

Puis un soir, il se décidera à retranscrire sur papier un voyage effectué en Californie en y greffant de la fiction, qui par la suite sera publié sous le titre de « Voyage maudit ».

Dès lors, le démon de l’écriture s’empare de lui... et il ne s'arrêtera plus.

Il participera également à un concours de nouvelles organisé par les éditions Azimuts en 2006 qui lui vaudra un deuxième prix en écrivant : « Le Bonsaï maléfique ».

De nature plutôt introvertie, l’écriture représente pour lui une manière d’expression, une forme de liberté, qui lui permet d’exprimer tout ce qu’il ressent et le faire partager aux autres. C’est aussi une sorte d’échappatoire qui lui permet de trouver refuge dans l’imaginaire lorsqu’il lui est parfois difficile d’accepter la vie telle qu’elle est.

Sa principale satisfaction en tant qu’écrivain, nous confie-t-il, est de penser aux lecteurs qui vont ouvrir son livre et qui vont se plonger dans un monde qu’il aura créé, l’espace de quelques heures.

Avant même de savoir écrire j'écrivais !

J'écris toujours partout tous les jours tout le jour

et quelquefois toute la nuit d'une manière ou d'une autre...

Romans, nouvelles, histoire, poèmes, chansons, théâtre, comique, blogs, mots d'humeur, bons mots...

J'écris sur tout et n'importe quoi, tout m'inspire

même si les plus courants sont:

l'homme, la femme, la famille, les enfants, la société, le monde, la terre, la nature, 

littérature, science-fiction, essais

J'écris de la poésie depuis huit ans et j'ai publié six recueils de poèmes solos, j'ai également été publiée dans des recueils de poèmes colectifs et dans des Anthologies Poétiques de Flammes Vives. J'ai participé à quelques concours litteraires et gagne un premier prix à l'association l'Appel de Biscarrosse pour trois recueils non publiés. 

J'adore écrire de la poésie et j'ai commencé en 2019 à écrire en vers libres.

Georges Darien est né à Paris le 6 avril 1862 dans une famille de commerçants de religion protestante. Il fait ses études au lycée Charlemagne et, en 1881, il devance l’appel. En juin 1883, il passe en Conseil de guerre pour insubordination et il est envoyé dans une compagnie disciplinaire en Tunisie, ce qui lui fournira la matière de  Biribi, discipline militaire, une fois rendu à la vie civile en 1886. Le livre ne paraîtra cependant qu’en 1890, après Bas les cœurs (1889), roman satirique dans lequel il peint les conséquences des événements de 1870-1871.

Il collabore par la suite à plusieurs périodiques anarchistes et libertaires comme Le Roquet, l’En dehors, L’Escarmouche (1893-1894) ou encore L’ennemi du peuple.

Il publie Le Voleur en 1897, mais celui-ci n’aura aucun succès. Il connaîtra en revanche la reconnaissance posthume de ses pairs, en l’occurrence Alfred Jarry, André Breton et Benjamin Péret.

Il publiera ensuite un pamphlet, La belle France, en 1901, avant de s’essayer au théâtre et même à la politique, sans succès. Il se marie en 1921, peu de temps avant sa mort.

Une part de mystère entoure Le Voleur, son œuvre phare, de même que la vie même de son auteur, dont de nombreuses périodes demeurent inconnues : cette œuvre hors du commun ne serait-elle pas un roman autobiographique et Randal, son héros, ne serait-il pas Georges Darien lui-même ?

« J’ai commencé à écrire très jeune par amour de la langue française. Aguerrie à la rigueur de la phrase par ma formation universitaire de traductrice-interprète, c’est lors d’ateliers d’écriture quand la créativité est stimulée, sollicitée à l’extrême sous la contrainte d’un thème et dans un temps limité, que j’ai su donner naissance à des textes aussi variés qu’exigeants, allant des récits de souvenirs ou des chroniques de voyages à la fiction pure, en passant par des histoires sordides ou des essais, alors qu’auparavant je me limitais à des publications pédagogiques dans le cadre de ma profession.

Née en Bourgogne dans une famille de restaurateurs, j’ai appris à l’école de la vie et de ma vie de voyageuse, le jeu des relations, la débrouillardise, la solidarité, le sens de l’observation, ce que je traduis dans une écriture que je veux légère, populaire et divertissante. Je vis aujourd’hui entre la Franche-Comté et le Portugal avec Ernesto, mon époux Apache. Mes oliviers, mes cactus, l’écriture et la protection de l’environnement occupent mon temps. »

Né en 1983, Romuald de SOUZA avait pour ambition de devenir pilote. Ecolier pertubateur et récalcitrant, il parvient à obtenir son Certificat d'Etudes Primaires, puis son Brevet d'Etudes du Premier Cycle avec brio. Passionné par la comptabilité, il obtint en 2004 son Baccalauréat en Compta-Gestion avant d'aller s'intéresser à la matiè re de Georges Burdeau à l'Université Cheikh Anta Diop de Dakar.

Diplômé en Droit et en Assurances, il fait ses preuves dans plusieurs entreprises en Europe et en Afrique. L'un des pionniers aux côtés de Guy ADAMA CAMARA Directeur du GTA-C2A à Lomé au Togo, il parvient à s'imposer sur le marché Béninois. Conseiller Juridique et Technique de plusieurs Compagnies d'assurances, il propose des voies de sortie au Directeur de la GAB .

Il se lance dans le monde de la littérature afin de partager son savoir.

Née en région parisienne (Fontenay sous Bois 94 )

Collège Jean Macé

Lycée Pablo Picasso

Formation scientifique(pharmacie)

deux enfants

vie actuellement en Haute Savoie (Annecy)

Activitées sportives:

randonnées, ski, parapente,aviron sur le lac d'Annecy

Amatrice de photographies

beaucoup de voyages

.

27 ans, Mariée, Détentrice d'un Master de psychologie de la santé, je désire à présent réaliser mon rêve d'enfant, devenir écrivaine.

Denis Diderot est né le 5 octobre 1713 à Langres dans une famille bourgeoise et meurt le 31 juillet 1784 à Paris. Ecrivain, philosophe et encyclopédiste, il a marqué son temps par ses immenses connaissances, son éclectisme et des écrits de tous genres et formes.

Ainé de la famille, il va entrer chez les Jésuites en 1723 et ses parents vont très tôt le destiner à la prêtrise. Pas intéressé par une carrière ecclésiastique ni par la vie de province, il va partir étudier à Paris en 1728 et ne retournera que très rarement à Langres.

À Paris, il étudie avec succès la théologie et la philosophie, tout en ayant une grande curiosité pour la physique, les Beaux-arts, l'Antiquité et tant d´autres domaines. Pour survivre, il va donner des cours, trouver des moyens de subsistance en écrivant des sermons, en devenant clerc. Il va au théâtre, apprend l´anglais, écrit ses premiers articles et commence à faire des traductions. À la fin de 1742, il rencontre Jean-Jacques Rousseau. Une grande amitié naÎtra entre les deux hommes.

En 1743, il commence réellement sa carrière littéraire malgré des contraintes familiales : son père, refusant d´accepter son mariage et agacé par ses frasques, le fait enfermer dans un monastère vers Troyes. Diderot s´enfuit et épouse secrètement Anne-Antoinette Champion, en novembre 1743. Ils auront ensemble 4 enfants. Il la délaissera assez vite, se consacrant à l´écriture et à des traductions en particulier : The Grecian history de Temple Stanyan et An inquiry concerning virtue or merit de Shaftesbury, accompagné de réflexions personnelles.

En 1746, il publie sa première œuvre : Pensées philosophiques. A partir de 1747, il participe à l´élaboration de l´Encyclopédie, œuvre à laquelle il consacre environ 20 ans de sa vie. Il est très aigri en raison du manque de reconnaissance qui lui est témoigné, des difficultés rencontrées avec les éditeurs.

De 46 à 48, il collabore à la traduction du Medicinal dictionnary de Robert James avec Marc-Antoine Eidous et François-Vincent Toussaint. En 1748, il publie Les Bijoux Indiscrets et des Mémoires sur différents sujets de mathématique. Il acquiert ainsi une notoriété de mathématicien.

En 1749, la censure est convaincue que Diderot est un auteur dangereux en raison des positions matérialistes de sa Lettre sur les aveugles à l´usage de ceux qui voient. L´œuvre est condamnée, Diderot arrêté et enfermé au Château de Vincennes. Les manuscrits de La Promenade du sceptique et de L´Oiseau blanc : conte bleu seront saisis. Il y reste 3 mois et y reçoit la visite de son ami Jean-Jacques Rousseau. Il est traumatisé par sa détention et devient très prudent sur ce qu´il publie.

En 1750, il rencontre Jean-Philippe Rameau et l´aide dans la rédaction de la Démonstration du principe de l'harmonie. La même année, il est nommé à l´Académie de Berlin.

À partir de 1757, il rejette les idées de Rousseau sur la valeur de l´homme dans la société et un fossé se creuse entre les 2 amis qui ne sera jamais comblé. Au décès de son père, en 1759, Diderot repense à l´intégrité de son père. Il écrit alors le Voyage à Langres et l´Entretien d´un père avec ses enfants.

Il cherche à vendre sa bibliothèque pour doter sa fille en 1761. C´est l´Impératrice Catherine II de Russie qui achète le bien « en viager » et le philosophe en garde la jouissance jusqu´à sa mort. Catherine II l´en nomme bibliothécaire tout en le rétribuant. Il sera alors à l´abri du besoin ainsi que sa fille.

Ce sera l'occasion pour Diderot de développer une activité de critique littéraire et artistique par le biais des neuf Salons qu´il rédigera entre 1759 et 1781. De nombreux textes sont diffusés de façon restreinte dans La Correspondance littéraire dont Grimm lui a confié la direction.

La rupture complète avec Rousseau se fait en 1770. Ils se répondent par écrits interposés. Il se décide à rencontrer Catherine II en 1773, après avoir terminé l´Encyclopédie et conclu le mariage de sa fille. Ce sera son seul voyage hors de France, il séjournera à Saint Pétersbourg, à La Haye et dans les Provinces-Unies.

Inventeur de la critique, érudit, romancier novateur, auteur de théâtre, traducteur, Diderot est reconnu aujourd´hui comme le chef de file des Lumières en France. Honnête homme, ses ouvrages ne sont pas reconnus à son époque y compris l´Encyclopédie. Il recevra seulement tout l´intérêt et la reconnaissance qu´il mérite à la fin du XIXe.

L´auteur est titulaire d´une licence de philosophie, soutenue à Genève. Il enseigne la philosophie et organise des spectacles de « diaphonie cinétique ».

Autres publications : Miroir-temps (Ed.Assyelle, avril 2008), l´Arpenteur sidéral (Ed.Assyelle, juin 2010) et Coquards pour somnambules (Edilivre, mars 2012).

Jean-Paul Dominici a fait sa carrière professionnelle à Paris dans les services informatiques.

Passionné de littérature il a commencé à écrire à son départ à la retraite.

Technicien industriel depuis 20 ans, je suis également artiste. J'exerce aussi bien sur des scénarii de BD que sur des nouvelles et romans de science-fiction.

J'essaye de céder mes oeuvres sur des sites internet et ça fonctionne. Aujourd'hui, aprés le boom des tablettes et une approche de l'avenir ou la diffusion, lecture, et le visuel de création se fera en tout numérique.

C'est pour cela qu'aujourd'hui je crée des EBOOKS de bandes dessinées directement sur mon ordinateur. Ainsi, le lecteur, internet, les machines elles-même, retrouverons leurs propres identités dans mes créations.

"L'art pour l'art" comme disait quelqu'un de connu dont j'ai oublié le nom.

Psychologue clinicienne de formation psychanalytique, Colette Duflot exerce ses fonctions à partir de 1952 dans le cadre de l'enfance inadaptée en région bordelaise, puis dans des institutions psychiatriques intra et extrahospitalières dans la Nièvre et la Mayenne. C'est là que pendant quinze ans, elle anime des groupes thérapeutiques à médiation projective avec des marionnettes.

Sa compétence reconnue l'amène à exercer les fonctions d'expert judiciaire près la Cour d'Appel d'Angers, et d'enseignant en méthodes projectives et criminologie dans les universités d'Angers et de Rennes.

Elle rédige de nombreux articles dans des revues professionnelles et publie quatre ouvrages :
Le psychologue expert en justice (PUF 1988),
Des marionnettes pour le dire (Hommes et perspectives, Journal des psychologues 1992),
L'expertise psychologique, procédures et méthodes, (Dunod 1999),
Le psychologue clinicien, l'invention d'une profession (ECONOMICA Anthropos, 2008).

Aujourd'hui entourée de ses enfants, petits-enfants et arrière-petits-enfants, elle prend toujours grand plaisir à écrire. Son insatiable imagination et son esprit espiègle l'entraînent désormais vers le monde des contes et des fantaisies !

Médecin pendant trente ans, j'ai toujours été passionné par les problèmes sociétaux.

 Renaud Dutreil aurait pu avoir une vie rectiligne.

 Tête bien faite et bien pleine (Lauréat du Concours Général de philosophie, Normale Sup, ENA), il entre au Conseil d’Etat en 1989. Il est ambitieux, il a une passion pour la « France universelle », il veut être Président de la République. Pendant quinze ans, il mène des campagnes électorales, est élu plusieurs fois député, est le premier Président de l’UMP dont il est un des fondateurs. Jacques Chirac le nomme ministre dans trois gouvernements successifs. Les lois qui portent son nom facilitent la création d’entreprise, allègent la fiscalité des entrepreneurs, des artisans et des créateurs, ces Français qu’il admire et qu’il rencontre lorsqu’il sillonne le pays.

 En 1993 et 2001, il rédige deux essais dans lesquels il explique ce qu’il voudrait changer dans son pays pour le sauver, Le Coq sur la paille et La République des âmes mortes. Devant le naufrage inexorable d’une vie politique qui le faisait rêver à vingt ans, il sent fléchir le feu qui l’a habité la moitié de sa vie. Il abandonne la politique, démissionne de tous ses mandats et quitte la France.

Il s’installe à New York où il représente le groupe de luxe LVMH en Amérique du Nord. Il soutient des artistes qui font scandale – Marina Abramovic : the artist is present au MOMA 2010 – des institutions scientifiques françaises – Institut des Hautes Etudes Scientifiques –, des écoles – Parsons School for Design –, des projets culturels – la librairie française à New York –, les “entreprises du patrimoine vivant” dont il a été l’initiateur en France.

 Avec sa femme qui dirige une ONG dédiée au sauvetage de la forêt primaire brésilienne Mata Atlantica, il s’engage pour la préservation de l’environnement et des ressources vitales. Dans cette veine, il se fait sourcier, chercheur de sources d’eau exceptionnelles au Brésil, aux Etats-Unis et en France où il reprend la source Fontaine Jolival, source charentaise qui enflaconne une eau vieille de vingt mille ans, contemporaine des Solutréens du Paléolithique Supérieur.

 Avec la parution en 2015 de « Qui a tué Eve ? », le voilà romancier ! Dans la vie ou à l’ouvrage, Renaud Dutreil est un artisan. Ses convictions, réflexions et pensées sur l’origine et l’évolution de l’Humanité sont autant de matériaux au service d’un objet littéraire singulier, brillante et iconoclaste réinterprétation des romans allégoriques du XVIIIe siècle. Il poursuit ainsi sa quête consacrée à l’apprentissage de ce que Montaigne appelait… « faire son métier d’homme ».

Issu d’une famille d’entrepreneurs et diplômé d’une école de commerce[1], c’est tout naturellement que Thierry Etoc se passionne pour le monde de l’entreprise. Dès 23 ans, il assume des fonctions de direction, d’abord chez les autres, puis au sein d’entreprises qu’il a créées. Désireux de mettre son expertise, nourrie d’expériences très concrètes, au service des créateurs d’entreprise, il s’engage dans le conseil et l’accompagnement à la création d’entreprise.

Enrichi des projets de ses clients, Thierry Etoc construit un savoir-faire unique, et unanimement reconnu par ceux qui en ont bénéficié. Après plus de 10 ans de conseil, il souhaite partager sa double compétence d’entrepreneur et de consultant avec tous les porteurs de projets et créateurs d’entreprise.

Son premier ouvrage « Je veux créer ma boîte, ça se soigne ? » livre l’essentiel de son savoir. Son objectif est de servir les projets, et de rendre concevable ce qui apparaît parfois plus un fantasme qu’une réalité. Il rappelle avec enthousiasme que tout est possible… à certaines conditions, et en respectant quelques principes de base.

Pour en savoir plus sur l’auteur, vous pouvez le contacter par l’intermédiaire de l’éditeur.

Thomas Fallet est né le 27 mars 1991 à Chenôve près de Dijon. Dès l'âge de 9 ans, il se consacre à la percussion Africaine au sein de la MJC des Bourroches à Dijon. Il effectue par la suite (de 1999 à 2004) un apprentissage rigoureux suivi de quatre voyages en Guinée (Conakry).

Il obtient le Certificat TAM TAM MANDINGUE décerné par Mamady Keita (maître tambour) le 15 mars 2009 lui permettant d'enseigner à juste titre la musique Malinké et se forme auprès d'un grand nombre de maîtres tels que Souleymane Cobra Camara, Babara Bangoura, Youssouf Traoré, Famoudou Konaté, etc.

En 2010, il se consacre à la poésie et écrit ses premiers poèmes influencés par l'oeuvre d'Arthur Rimbaud. En 2011, naissance de son premier ouvrage : LES SOUILLURES MORALES (180 poèmes) pénétrants, mystérieux, alliant brio, intime et haine de soi.

François de Salignac de la Mothe-Fénelon, évêque et écrivain français, naît le 6 août 1651 au château de Fénelon.

Ordonné prêtre en 1675,  il commence sa carrière d’écrivain avec  Le traité du ministère des pasteurs (1688), dans lequel il établit l’illégitimité des ecclésiastiques protestants, et Le traité de l’éducation des filles (1689). Il gagne la confiance de Bossuet qui le recommande à Louis XIV. Séduit, le roi lui confie la Direction d’une mission en Saintonge et en Poitou, provinces troublées par le fanatisme religieux.

En pleine révocation de l’Édit de Nantes, Fénelon parvient  à calmer ces provinces agitées grâce à sa prudence et à son habileté à accommoder le catholicisme sans renoncer à l’essentiel. En 1689, Louis XIV le choisit comme précepteur de son petit-fils, le Duc de Bourgogne. Il compose pour le prince des résumés historiques (Dialogues des morts), des traités littéraires (Fables), et surtout Les aventures de Télémaque. À la fin de son préceptorat, en 1694, il est nommé archevêque de Cambrai.

Gagné au quiétisme professé par Mme Guyon (et condamné par l’Eglise dès 1691), il publie son Explication des maximes des Saints, fortement influencée par l’hérésie guyonniste. Ce texte, contemporain des Aventures…,  provoque la rupture avec Bossuet qui obtient la condamnation du livre par le Saint-Siège. Fénelon semble dès lors poursuivi par les ennuis. Considérant Les Aventures… comme une critique de son règne, Louis XIV ordonne l’arrêt de l’impression et la disgrâce de son auteur.

Désormais « exilé » dans son diocèse, Fénelon se consacre à l’instruction religieuse et au secours des fidèles. Visité par des étrangers de distinction, recherché pour ses conseils, qu’il est le premier à mettre en pratique, il écrit encore un Manuel de piété, ainsi que des Lettres, dans lesquelles il fond « son » quiétisme dans le catholicisme traditionnel.

Être un peu chimérique, sentimental, à la fois sévère et courtois, lettré, raffiné et gai, aimant les artistes, délicat et pourtant rigoureux, Fénelon est le contemporain de Bossuet par l’âge, et de cette époque de transition qu’est la fin du Grand Siècle. Il est également très proche, en esprit, des « hommes sensibles » du XVIII^e, dont Rousseau sera la plus fidèle incarnation.

 Fénelon meurt à Cambrai le 7 janvier 1715.

Je vis dans le beaujolais non pas le beaujolais à vin les monts du beaujolais pays de vaches et d'ânes

dans une baraque délabrée qui prend l'eau oui ma femme m'a quitté et je reprends pied en mitonnant mon potager

J'écris des bouquins pour y verser le trop-plein de mon âme et j'ai même trouvé un chouette éditeur dernièrement ayant produit de la poésie sous forme d'alexandrins histoire de rivaliser avec Baudelaire

Je mets  ça en ligne comme on se jette à la mer

Né le 13 Décembre 1984 à Tarbes,j'ai vécu toujours dans les Hautes-Pyrénées et j'ai été dans l'inspiration dès l'école. J'écrivais des poésies et maintenant je fais des mangas depuis bientôt un an et je vais bientôt faire un nouveau genre inédit. Mais je n'en dis pas plus car c'est un secret!

Gustave Flaubert est un romancier français, né à Rouen en 1821, mort à Croisset en 1880. On compte ses romans sur les doigts d’une main, mais chacun est un chef d’œuvre qui fait de son auteur un des géants de la littérature française, au confluent des courants romantique et réaliste.

Fils du chirurgien en chef de l’Hôtel-Dieu de Rouen, il grandit dans un hôpital ; enfant, il connaît la souffrance et la mort mais la douceur et la gaîté d’un foyer familial très uni, où l’on aime rire, tempèrent la mélancolie propre à un tel lieu. Ces premières années marquent son caractère, qui marie tristesse et goût des farces ; son œuvre, dominée par le souci de la précision scientifique et la recherche de la vérité sous les faux-semblants.

Dès les bancs du lycée, il rédige seul, et fait imprimer, un petit journal Le Colibri où apparaissent certains des thèmes qu’il va développer bien plus tard ; il en est convaincu, il sera écrivain ! Il interrompt ses études de droit pour raisons de santé, c’est la chance d’accomplir son destin. Pour autant, ce dernier n’est pas pavé de roses ! Flaubert écrit, réécrit, hésite, s’éloigne, revient, écrit encore… si bien que chacune de ses œuvres demande un labeur acharné qui s’étend sur des années. Bien plus tard, son amie George Sand lui reprochera de « travailler dans la désolation ».

D’avril 1848 à septembre 1849, il rédige La Tentation de saint Antoine, sujet évoqué dans le Colibri en 1835. Il lit le manuscrit à des intimes. Échec ! Ils lui conseillent de mettre « sa muse au pain sec, pour la guérir de son lyrisme ». Il commence alors ses recherches pour Madame Bovary tout en partant vers l’Orient sur prescription médicale (octobre 1849). Il publie le roman en 1857. Attaqué pour immoralité. Scandale. Procès. Acquittement. Flaubert est atteint mais c’est le succès ! Il entreprend alors de « ressusciter Carthage », sujet historique moins polémique. Il réunit une documentation encyclopédique et se lance. Salammbô paraît en novembre 1862 ; c’est un grand succès acquis au prix d’années passées dans les « affres du style ». Aussitôt il rédige le plan de L’Éducation sentimentale, sujet quasi autobiographique. Publiée en novembre 1869, c’est un échec même si Banville constate que « tout le roman contemporain en est sorti ». La Tentation de saint Antoine paraît enfin en 1875. L’œuvre est complexe, inclassable, la presse l’éreinte, le succès est modeste mais sa reconnaissance est universelle : Tourgueniev écrit que « Saint Antoine est une des œuvres les plus extraordinaires qu’il connaisse ». Il met en chantier un autre grand roman, Bouvard et Pécuchet, satire restée inachevée de ceux qui croient savoir et n’ont pas même appris à apprendre. Enfin, il publie en 1877 Trois contes, recueil de trois récits de couleurs et thèmes si variés qu’ils résument à merveille tout l’art de Flaubert.

Moqueur, Alexandre Dumas s’est un jour exclamé « Flaubert ? C’était un géant qui abattait une forêt pour faire une boîte. » Ce à quoi le Normand aurait pu répondre : « Je ne veux pas flouer le public, voilà tout... » C’est pour vous, chers lecteurs, que Flaubert a patiemment sculpté ces jolies boîtes, ouvrez-les !

Jorge Mario Bergoglio est élu Pape le 13 mars 2013 sous le nom de François, en référence à saint François d'Assise, le saint des pauvres. Jésuite et argentin, son élection au trône de Saint Pierre est un évènement à plus d’un titre.

Jorge Mario Bergoglio naît à Buenos Aires le 17 décembre 1936 dans une famille modeste d’origine italienne (Piémont). Après des études de chimie, il entre au séminaire. En 1958, il devient novice chez les Jésuites. Entre 1964 et 1966 il est professeur de littérature et de psychologie à Buenos Aires tout en poursuivant ses études de théologie. Il est ordonné prêtre le 13 décembre 1969. En 1973, il émet sa profession perpétuelle chez les jésuites. Outre ses fonctions ecclésiastiques, il enseigne à la faculté de théologie. Il est élu provincial des jésuites d’Argentine de 1973 à 1979, puis reprend son travail universitaire entre 1980 et 1986. Nommé évêque en 1992, puis archevêque coadjuteur de Buenos Aires en 1997, il devient archevêque et primat d’Argentine le 28 février 1998. En 2001, Jean-Paul II le crée cardinal.

 Homme d’action et de réflexion, il est très présent auprès de ses concitoyens pendant la tragique crise économique de 2001. Ses prises de position fortes, la sobriété de son caractère, son mode de vie simple et rigoureux participent à une popularité croissante en Argentine et sur tout le continent.

 Devenu pape, François impose très vite un style de communication direct et universel : il parle à tous et à toutes, n’exclut personne tout en restant très attaché à la « mission prophétique de l’évêque » et à son devoir de « prêcher sans cesse », priorités du nouvel Évêque de Rome. Sa pensée s’articule autour d’un projet simple : suivre le Christ, c’est comprendre que « piétiner la dignité d’une personne est un péché grave ».

Auteur de nombreux ouvrages religieux avant son élection, François a publié deux encycliques, Lumen fidei (Lumière de la foi) en 2013 et Laudato Si’ (Loué sois-Tu) en 2015.

Patryck Froissart, poète, romancier, est né à Condé-Macou, dans le Borinage (région franco-belge comprise entre Valenciennes et Mons), où il a passé les 20 premières années de sa vie.

Il a vécu ensuite au Maroc, en Auvergne, dans l'Hérault, à La Réunion, à Mayotte, à Maurice, au Cameroun et dans le sultanat d'Oman, et réside actuellement à La Réunion.

Membre du Cénacle Froissart, du Centre de Recherches Poétiques de Valenciennes, de la Société des Poètes et Artistes de France, et de la SGDL.

Après une longue carrière de commercial et de chef produit européen dans le textile et l´emballage industriel, Jacques Gabillon vit une retraite méritée à Nancy. Ancien joueur de rugby il suit encore avec plaisir les matches du Tournoi des 6 nations.

Passionné par la grande guerre, il fait des recherches depuis des années auprès des derniers survivants, dans le Dauphiné, la Somme, le Nord, la Belgique, l´Angleterre, l´Allemagne, au gré du travail et des voyages, pour le plaisir et l´émotion de découvrir l´histoire d´hommes. Il a publié Adieu Fernand et Histoires Lorraines.

je suis simple et timide je pratique le synthé + le football

RIEN ne prédisposait ce Directeur de Recherches, après une carrière au CNRS, à se lancer dans l'aventure littéraire, lui pour qui la vision d'une page blanche a toujours été le pire des cauchemars.

Il a été très marqué par ses années de lycée lorsqu'il prolongeait ses soirées du dimanche jusqu'à des heures tardives afin d'achever péniblement la dissertation à remettre le lundi matin. Il faut reconnaître que ses travaux de plume ont souffert de son poil dans la main et que seul l'avènement du traitement de texte a pu améliorer cette déplorable situation.

Ce mélomane, friand de jeux de mots a beaucoup pratiqué, avec un égal plaisir, la fugue et le contrepet, mais c'est la lecture du Petit Fictionnaire de Alain Finkielkraut qui a provoqué chez lui, il y a quelques années, l'envie d'enrichir le dictionnaire avec des définitions plus qu'approximatives...

Projet certes ambitieux mais, aux dires de l'auteur, le contenu est régulièrement enrichi de rubriques nouvelles.

Qu'on se le dise !

Né le 21 novembre à Saint-Étienne France, Nadim Ghodbane est un auteur/militant, c'est ainsi qu'il aime se présenter. Activiste écologiste, défenseur de la cause animale, auteur de plusieurs ouvrages traitant se sujets divers comme l'écologie et le végétarisme, qu'il défend dans ses conférences.

Son engagement politique qui perdure à fait naître en lui un sens aigu du bien commun et fait de lui un observateur avisé du changement de notre société.

Hamid Grine (Biskra, Algérie, 1954) est  journaliste, essayiste, romancier, grand reporter, concepteur rédacteur en agence de pub… il débute dans le journalisme sportif, avant de s’essayer au grand reportage et d’aborder d’autres territoires (économie, société et culture), autant en Algérie qu’à l'étranger.

Auteur de livres sportifs (notamment Lakhdar Belloumi, un footballeur algérien, 1986), de portraits (Comme des ombres furtives, 2004), d’essais politiques (Chronique d'une élection pas comme les autres, 2005) ou philosophiques (Cueille le jour avant la nuit, 2005), il se lance dans le genre romanesque en 2006, avec La dernière prière. Lui succèderont  La nuit du henné en 2007, Le café de Gide en 2008, Il ne fera pas long feu en 2009, une satire sur la presse qui connaîtra un grand succès en Algérie.

Son approche du roman se complexifie à partir de 2010. Avec Un parfum d'absinthe, il  questionne l'engagement des écrivains algériens pendant la guerre de libération, et notamment celui de Camus, qui sera également au centre de Camus dans le narguilé,  son premier roman publié en France, en 2011. Son dernier essai en date, Sur les allées de ma mémoire, paraît en 2012.

Hamid Grine a été récompensé par les éditeurs maghrébins pour l'ensemble de son œuvre. Il a également reçu La plume d'or du journalisme sportif, le prix des libraires algériens en 2009, et a été nominé pour le Prix Françoise Giroud du portrait en 2013. 

Le 5 mai 2014, il est nommé ministre de la Communication dans le gouvernement Sellal 3.

Laurent Guyonvarch est né à Toulon en 1972. Après des études de lettres modernes, il entreprend plusieurs voyages en Amérique du Sud et en Asie. Il séjournera plusieurs années en Haïti en tant que directeur de l’Alliance Française. De retour en France, il commence une carrière dans le développement local des entreprises. Il publie alors des textes littéraires dans différentes revues.

A partir de 2008, à côté d'un travail de consultant, il s'implique de plus en plus dans sa passion de la photographie et expose régulièrement sur Paris.

 Tout petit, j’aimais jouer aux cow-boys et aux indiens. J’étais celui qui capturait la jolie squaw pour l’attacher à un arbre. J’avais déjà la passion des cordes et j’étais réputé pour connaître bon nombre de nœuds, ce qui épatait les copains. Lorsque la squaw était libérée, et si elle avait été particulièrement coopérative, alors je l’emmenais avec moi pour cueillir des coquelicots dans les champs. Je ne savais pas que je vivais les prémices du principe châtiment/récompense.

Puis vint l’adolescence. Le petit cow-boy que j’étais s’éteint pour donner naissance à un jeune homme déjà diaboliquement attiré par les filles. Rassurées d’être entre des mains paraissant si sûres d’elles, beaucoup se laissèrent s’effeuiller sans la moindre retenue. Je compris très vite qu’il était facile de séduire par le rire et les vers. Aussi, si mon insouciance en amusait quelques unes, mes premières poésies en séduisirent bien d’autres.

Les mots et leurs enchantements m’ont très vite fasciné. Je me suis rapidement intéressé aux poètes comme Baudelaire, Joe Bousquet, Gainsbourg et bien d’autres encore qui influeront beaucoup sur mes écrits. Quant à mes lectures, elles variaient en fonction des saisons, des œuvres du Marquis de Sade pour aller jusqu’au Capital de Karl Marx en passant par l’œuvre complète de Fiodor Dostoïevski qui devint rapidement mon auteur fétiche. Ces romans métaphysiques centrés sur la question angoissée du libre arbitre et de l'existence de Dieu ne tardèrent pas à interférer dans les textes toujours plus décadents qui commencèrent à couler sous ma plume. L’adolescence est une période fragile durant laquelle on remet tout en question : l’autorité, la morale, les mœurs, l’Eglise, la société en général. Aussi, plonger dans l’univers de Fiodor Dostoïevski à ce moment-là, alors que j’avais déjà des pulsions me poussant vers une sexualité non conventionnelle, ne pouvait que donner naissance à un libertin amoureux de sa plume, teinté d’un romantisme que je masquerai par pudeur, romantisme dramatique, marqué par toute cette littérature russe qui berça ma jeunesse.

Adulte, la vie m'entraîne à faire des séjours dans d'innombrables bras féminins, me faisant découvrir par la même occasion quasiment toutes les régions de France et parfois même des contrées bien plus éloignées. Très vite, quelques amies appréciant mes poésies et les récits qu’il m’arrive de faire de mes rencontres, me réclament un roman. C’est ainsi qu’est né Je t’aime, moi non plus.

Un jour qu’elle présentait son budget marketing à son CEO, il s’est endormi ! Nesma Houhou s’est alors juré de ne plus jamais revivre un tel moment. Depuis, elle a développé une méthodologie et des outils efficaces pour faire d’une présentation orale un succès. Analyser le besoin, définir une stratégie, puis construire la présentation orale et ses supports, c'est tout son savoir-faire.

Architecte de formation, Nesma Houhou exerce en agence pendant dix ans. Puis, elle rejoint Saint-Gobain comme Directrice Marketing et Communication de la filiale Ecophon. Son rôle : convaincre les architectes d’intégrer les produits Ecophon à leurs projets, lancer de nouveaux produits et convaincre sa hiérarchie. Ses outils : des présentations avec des supports visuels percutants. Elle s'intéresse aux meilleures pratiques des patrons américains, Steve Jobs en tête ! L’œil de l’architecte et la science du marketing, nourris d’exemples de présentations à fort impact, lui permettent d’élaborer sa propre méthodologie. Ainsi naît Slide at Work® en 2008, une prestation d’accompagnement ad-hoc qui assure efficience et impact pour toute présentation visuelle. En 2010, elle crée le Pitch Campus^®, un programme complet pour concevoir et présenter oralement des interventions à fort enjeu.

Nesma Houhou compte parmi ses clients des groupes cotés, Danone, Valeo, Véolia ou Michelin, des institutions, la Caisse des dépôts, la CCI-Paris ou le Collège de France, des banques, Barclays, Société Générale et de nombreux entrepreneurs, créateurs de startups.

Elle anime des formations et des conférences à HEC,  l’ESSEC, l’ESCP, Novancia, les Gobelins-Paris, la Sorbonne-Paris et met son expérience au service des créateurs d’entreprise comme coach des incubateurs de la CCI-Paris et de l’Ecole des Mines d’Alès.

Son ouvrage « Préparer une réunion efficace avec un Powerpoint percutant » a été publié aux éditions Vuibert en avril 2010 dans la collection Lire / Agir.

On la retrouve sur ses deux blogs www.slideatwork.over-blog.com et www.slidologie.com

sculpteur sur bois sur plâtre et cuivre

peintre plasticien

décoration  traditionnelle

Claude Jacquemard est franc-comtois d´origine, né à Dole le 19 juillet 1939 d´une mère institutrice et d´un père prisonnier quelque part en Autriche…
Après des études secondaires à Besançon, il y commence des études de médecine qu'il poursuit à Lyon. C'est dans cette ville que se déroule sa carrière professionnelle.

Ses études terminées et son destin médical tracé, il adhère aux premiers clubs régionaux de pêcheurs. À l'opposé il existe alors un club très élitiste le « TOS » (Truite, Ombre, Saumon) fréquenté par le gratin de la pêche à la mouche, tant par l'objectif que par les moyens. Ce club parisien, plutôt mal vu parmi ses confrères plébéiens, représente l'aristocratie et l'argent et s'éloigne des valeurs de partage des pêcheurs… d'en bas !

Bien que pratiquant en amateur le piano et la cuisine, Claude Jacquemard consacre une bonne partie de ses loisirs à la pêche à la mouche. Ces activités ont en commun le goût de la beauté dans l'exécution d'un morceau de musique, de la saveur dans la confection d'un plat, de l'harmonie du geste dans l'approche d'une rivière. Il y a de la sensualité dans tout cela…

Tout au long de son activité de pêcheur, Claude Jacquemard a vécu des situations improbables qu'il a eu envie de raconter, des aventures où se mèlent le succès et l'échec, l'insolite et la farce…

Je suis originaire de Pointe Noire en Guadeloupe, je suis mariée et je suis mère de trois enfants.

J'ai fait mes études secondaires au Lycée Gerville Réache à Basse-Terre.

J'aime beaucoup ma langue natale qui est le créole, c'est une très belle langue, j'essaie de la mettre en avant dans mes écrits.

Kaleba Kilunga Yvs né le 24 Octobre 1992 à Kalima en République Démocratique du Congo dans la province du Maniema.

Ingénieur en Agrononomie et diplômé en Secrétariat Informatique à l'Institut Technique Professionnel Divin Maître Kakautya (ITPDMK) une école de soeurs missionnaires du divin maître.

• Père: Kilunga Jean de Dieu
• Mère: Sifa Mpala Véronnique

Frères et Soeur :

• Madeleine Kilunga
• Talangandu Makonzo
• Mahamudi Makonzo   
• Fitina Kilunga

Petit frère et petite soeur

• Matunda Kilunga
• Kilunga bin Kilunga

Kaleba est une personne du possible, fondateur du groupe : les jeunes et la science, l'union des jeunes volontaires pour le développement, maison de production culturelle de Kalima.

Né ainé d’une famille de cinq enfants tous garçons, MCHK, de son vrai nom KAMBALE KAPITENE Marcel Héritier voit le jour un certain Mercredi 25 janvier 1989 à Beni, dans le Nord-Kivu à l’Est de la République Démocratique du Congo.

Fils de Monsieur KACHELEWA Eleuthère ‘Walter’ et de Madame Anna-Maria Goretti KAVUGHO, MCHK est un jeune enfant peu bruyant et tôt remarqué par ceux qui côtoient ses parents et ses enseignants du primaire entièrement fait à l’Ecole Anglicane du quartier Kasabinyole de Beni qui l’a vu grandir, duquel il sort déjà à 10 ans avec son certificat de fin d’études primaires : c’est un bon travailleur doux mais beaucoup plus attaché à la solitude.

Attiré par la vie religieuse, comme plusieurs jeunes catholiques de son époque, il entre au collège Saint-Noé, une école technique industrielle et Scientifique catholique tenue par les frères de l’Assomption où il fait son cycle d’orientation. Son niveau baisse car attiré par des amis qui l’entraînent à l’attrait de la jeunesse et brisent la solitude qui lui était naturelle, dit un de ses amis d’enfance.

MCHK n’a jamais repris une classe durant tout son parcours. Il quitte le collège Saint-Noé (Institut Technique Industrielle de Kasabinyole) pour l’Institut Bungulu, une école officielle, la plus renommée de la ville de Beni, où il obtint en 2006 son BAC Commercial et Administration. Ses vacances, c’est plus la radio à laquelle il s’initie très jeune à l’âge de 12 ans, profitant de certains ainés de son quartier qui  y étaient très impliqués. Au fait, le quartier Kasabinyole est celui qui fournit le plus grand effectif de brillants journalistes de la ville cosmopolite de Beni. Effet de snobisme ? Peut-être, mais MCHK passe très tôt de modulateur-réalisateur au speaker et co-présentateur des émissions nocturnes dont la plus influente fut « Graben Consolation » qu’il animait avec Mc. MAKASI sur la fréquence FM de la Radio Télévision Graben Beni.

En juillet 2006, MCHK a 17 ans quand il obtint son BAC, il poursuit déjà des études universitaires en Economie à l’extension de Beni du Centre Universitaire de Ruwenzori (devenu plus tard Université Officielle de Ruwenzori) qu’il combine avec des formations en Bureautique et d’Anglais. Très brillant et trop bavard de sa classe de première année, il obtint une distinction ; ce qui lui valu une antipathie de certains de ses collègues de promotion, en plus de subir des représailles de la part de certaines autorités universitaires pour raison de conflit d’origine.

C’est impossible de poursuivre à Beni, MCHK décide de rejoindre le Butembo le 27 octobre 2007, le siège de l’Université Officielle de Ruwenzori où il poursuit la deuxième année de graduation. Le secret est divulgué par certains enseignants qui le connaissent depuis Beni, MCHK n’échappe pas à la haine et se fait empoisonné par deux fois la même année. Impossible de refaire une distinction.

En plus des tensions et incompréhensions dans sa famille d’accueil, il est février 2008 quand MCHK est tenu informé de la future venue au monde de sa fille Inès TSHANZA KACHELEWA qui survient le 9 septembre de la même année. C’est l’heure de la tournure, père à 19 ans, MCHK perd certains avantages de ses parents. Il doit apprendre à se prendre en charge.

Il décide de marier ses cours à petites consultances en Bureautique qu’il maîtrise déjà mieux et réintègre la Radio Graben Butembo où il est pris d’abord comme animateur et présentateur d’émissions culturelles et scientifiques, avant d’être admis en stage de rédaction et journaliste au desk français. Il quitte la RTGB en 2009 pour la Radio Liberté Butembo, où il deviendra plus tard secrétaire de rédaction. La même année, il est gradué en Economie de l’UOR.

Le 11 octobre 2011, c’est la soutenance avec franc succès de son mémoire de Licence en Gestion Financière qui traite des régressions multiples en Econométrie. Les témoins de l’événement rencontrent que ses évaluateurs n’avaient pas eu des questions à lui poser et son mémoire fut admis aux rayons de son  Université sans aucune correction. Son promoteur, docteur en économie monétaire et son encadreur, statisticien agrégé, s’en félicitaient d’ailleurs. Cette année, il change deux fois de famille d’accueil pour cause parfois de haine sans nom dont il fait l’objet de la part de certains relatifs, en plus de ses distinctions qui sont camouflées par le secrétaire de sa faculté. Mais il a un principe qui le pousse à ne pas abdiquer : « La haine fait plus de mal à celui qui l’éprouve qu’à celui qui en fait l’objet. »

Passionné de mathématique et statistique, il est retenu quelques jours plus tard, soit 20 septembre 2011, comme Assistant à la Faculté des Sciences Economiques et de Gestion de l’Université Officielle de Ruwenzori. Plus de temps de poursuivre les prestations à la radio, le nouvel enseignant s’en donne désormais à ses attributions.

Avec une charge d’intervention en Maths et théories quantitatives ; il est apprécié dès ses premières prestations en Econométrie par ses étudiants mais se fait haïr par ses collègues enseignants-chercheurs à la fac ; ce qui lui valut l’année un coup monté de récusions par une bande d’étudiants poussés par des collaborateurs. Les instigateurs sont tard démasqués : un chef de travaux qui craint de collaborer avec MCHK dans ses enseignements, l’ancien secrétaire de la fac qui a peur d’une vengeance, un appariteur de la fac qui s’y lance pour règlement de compte d’une incompréhension survenue le 28 mai 2011 dans une salle d’examen lorsque la victime était étudiant, un collègue assistant qui déteste le savoir-faire de la cible et un professeur doyen de faculté qui était contre toute nouvelle recrue qui entrait dans la boîte sans son influence.

Ces circonstances ne l’empêchent pas de poursuivre son idéal. Il écrit sur plusieurs aspects :

• Economie
• Sciences
• Technologie
• Art

Eliane Karsaklian publie ici son premier livre numérique sous forme de roman.

Parcours professionnel

Comme responsable des études de marché aux postes de direction marketing, j’ai été confrontée aux problématiques de marché et de l’interculturalité depuis les débuts de ma carrière à l’étranger. Ayant vécu dans plusieurs pays, j’ai eu l’occasion de me confronter à différents types de management et de gestion des affaires. Pendant quinze ans, j’ai été amenée à travailler aussi bien seule qu’en équipe et à diriger des équipes multiculturelles, dans tous types de structures : locales, internationales, PME, grands groupes.

En parallèle, j’ai entamé une activité d’enseignement et de recherche, afin d’alimenter, réciproquement, vie académique et vie professionnelle. Spécialisée dans les affaires internationales, j’ai également été chef d’entreprise à l’étranger et plus récemment en France, avec la création de Ubi et Orbi, cabinet spécialisé dans l’accompagnement des entreprises dans leur internationalisation. Au sein de cette activité, je forme des professionnels à l’expatriation et au travail en équipes pluriculturelles et permets aux chefs d’entreprises d’externaliser leurs activités internationales dans le domaine du marketing, du management et de la négociation, par l’utilisation de mes services.

Formations

Diplômes universitaires

• Doctorat ès Sciences de Gestion – Groupe HEC
• DEA Diagnostic stratégique d’entreprise – Université de Paris Dauphine
• Master en Marketing – UFRGS / NYU
• Maîtrise en Communication – Publicité, Journalisme, Relations Publiques - UFRGS

Activités universitaires et d’enseignement

En France

• Maître de Conférences à l’Université Paris III Sorbonne Nouvelle – Directeur du Master 2 Négociation Commerciale Internationale
• Enseignante en Marketing et Marketing International à l’ENSAM / PARISTECH – Master 2 Génie de l’Innovation et Master 2 Contrats Globaux
• Enseignante en Marketing International et Marketing des Services à l’Université Paris Dauphine – Master 2 Marketing
• Enseignante en Marketing International au CNAM – Master 2 Distribution et Vente
• Enseignante en Négociation Internationale à l’ESC Rouen – Master 2 Marketing
• Chercheur associé au LAGERPA – Université de Paris II

A l’étranger

• Professeur invité à l’Université Française d’Egypte – Le Caire - Egypte Cours de Marketing et Marketing International
• Professeur invité à l’Université Libanaise – Beyrouth – Liban
  Cours de Marketing International, Management Interculturel et Négociation Internationale
• Professeur invité à The University of Kansas – Lawrence – Etats Unis
  Cours de Marketing International
• Professeur invité à The University of Sydney – Sydney – Australie
  Cours de Marketing International

Eric L. KISAMPO est né à Kinshasa, en 1968. Après des études primaires à la Mission catholique de Kinzambi et des humanités littéraires dans les Missions catholiques de Kingungi et de Kolokoso, il est admis au Grand Séminaire de Saint Augustin de Kalonda (Bandundu) pour étudier la philosophie.

Il quitte la voie sacerdotale et termine le graduat en Philosophie et sciences humaines à l’Université Chrétienne Cardinal Malula . Professeur de français et de philosophie pendant neuf ans dans une école privée de Kinshasa. Il y a vécu les difficultés des élèves à digérer le français. A ce titre, il a participé à plusieurs séminaires et ateliers organisés tant par les structures du Ministère de l’Enseignement Primaire, Secondaire et Professionnel que par le Groupement «　Education　» de la Confédération des Petites et Moyennes Entreprises du Congo (COPEMECO).

Aujourd’hui Agent de l’Administration du Sénat , il ne veut pas oublier les enfants et entend apporter sa pierre de contribution au problème sus-évoqué. Son souci est d’aider les élèves à maîtriser la langue française par la publication de livres à la lecture facile et bon marché.

Nadia Konstantini a enseigné pendant quatre ans l’anglais de spécialités (ESP) et la traduction à l’Institut Supérieur de langues Appliquées et d’Informatique de Nabeul (Tunisie) . C’est grâce à ses connaissances plurilingues du français, de l’arabe, de l’italien, de l’anglais de l’allemand et de l’espagnol qu’elle a entrepris une recherche intitulée « Le plurilinguisme, l’apprentissage des langues et la motivation ». Elle a écrit un article en anglais intitulé « Transmutation psychologique dans ‘‘Les filles du défunt colonel’’ de Katherine Mansfield ». Elle a également traduit en langue française la nouvelle de Kate Chopin « The Story of an Hour ». Elle est actuellement en train de terminer sa thèse de doctorat en Littérature anglaise.

Nadia Konstantini has been teaching ESP and Translation at the High Institute of Applied Languages and computer sciences in Nabeul (Tunisia) for four years. Her knowledge of six languages (French, Arabic, Italian, English, German and Spanish) led her to undertake a research on "Multilingualism, Language Learning and Motivation". She wrote an article entitled "Psychic Transmutation in Katherine Mansfield's "The Daughters of the Late Colonel" and she translated into French Kate Chopin's short Story "The Story of an Hour". She is now preparing a PH.D. in English Literature.

Professionnel du bien-être, j'ai toujours été passionné par la spiritualité, la psychologie, l'écriture et plus récemment par la naturopathie (dont j'ai fait mon métier).

Je résumerai ce qui fut à une époque de ma vie un besoin impérieux d'écrire en citant ce passage du film Le Cercle des poètes disparus (1989) : « On lit ou on écrit de la poésie non pas parce que c'est joli. On lit et on écrit de la poésie parce que l'on fait partie de l'humanité, et que l'humanité est faite de passions. La médecine, le droit, le commerce et l'industrie sont de nobles poursuites, et elles sont nécessaires pour assurer la vie. Mais la poésie, la beauté, l'amour, l'aventure, c'est en fait pour cela qu'on vit. »

Vous avez aimé mon livre ? N'hésitez pas à me faire part de vos commentaires et encouragements. Merci

Né en 1934, j'ai connu la Deuxième Guerre Mondiale. Puis ce furent les Trente Glorieuses. J'ai connu alors une période d'extraordinaire expansion de l'humanité jusqu'à ce qu'adviennent les premiers chocs pétroliers et aujourd'hui cette crise monétaire et financière qui freine considérablement la justice sociale et l'épanouissement technologique.

Je suis un ancien enseignant qui a gardé en lui le désir de libérer l'humain par le savoir, la conquête renouvelée de libertés difficilement acquises. J'ai écrit MONTER LA VIE A CRU pour montrer quels bouleversements ont introduit dans le couple l'usage de la pilule contraceptive et d'autres libertés qu'ont acquises les femmes depuis 1945. Mon âge me permet de dire que les choses ont considérablement changé depuis, et très vite!

Mon roman éclaire tout à fait un problème qui devient chaque jour un peu plus d'actualité dans notre société, celui de l'autonomie sexuelle de l'épouse dans le couple. Comment le couple actuel peut-il se reconstruire en s'appuyant sur cette liberté nouvelle pour la femme, liberté qu'on lui entend revendiquer ici et là? J'ai choisi d'en parler crûment pour être vrai sans toutefois être vulgaire. Les questions soulevées par cette approche nouvelle de la sexualité du couple sont violentes, douloureuses. Il faut les appréhender sans fausse pudibonderie.

Ma biographie pourrait donc se résumer en une vie de recherche ayant pour objectif une compréhension toujours plus grande et avancée de la sexualité humaine, longtemps enganguée et limitée par des règles sociales devenues obsolètes.

Née en 1949 à Boulogne Billancourt, je vis depuis 1971 en Suisse. J'écris depuis toujours, des nouvelles, 3 romans, des poèmes.

Dès janvier 2012, je vais m'installer en Bretagne, à Sarzeau, mes romans se passent presque tous à Quiberon. J'espère faire connaître mes romans et surtout le 3e qui est encore à l'état de manuscrit. Il ferait un merveilleux et très original film, le premier également. Je crois en mes personnages et mes histoires sont passionnantes, évitons la fausse modestie.

J'ai contacté des tas d'éditeurs, sans aucun succès et je décide de faire confiance à Internet. Why not ? C'est le moment ou jamais, je veux y croire.

Dans mon 3e roman, Meurtre sur la lande, je verrais bien Nolwenn Leroy dans les traits de mon héroïne. Dans le premier, En souvenir du Carl Bech, ce serait plutôt Vanessa Paradis. J'ai envoyé mon roman à Vanessa mais je n'ai reçu aucune réponse.

En souvenir du Carl Bech est en vente sur Amazon, c'est le seul qui a été publié mais mon éditeur n'existe plus, j'aimerais relancer ce livre, éventuellement sous un autre titre.

Messieurs les éditeurs, lisez-moi, vous ne serez pas déçus !

Pendant plus de trente années, j’ai exercé le métier de
hautboïste dans un orchestre de région en France. C’était ma vocation initiale.

Pour des raisons de santé, j’ai été dans l’obligation d’abandonner
ce métier difficile, exigent, mais tellement enthousiasmant.

Je ne pouvais pour autant rompre le lien que j’avais entretenu
pendant tant d’années avec la créativité, l’expression des sentiments, et
finalement la beauté.

Il serait très présomptueux de ma part, de dire que j’ai redonné
vie à un tel désir au travers un nouveau moyen d’expression pour moi : l’écriture.
Cependant, c’est l’objectif que je me suis fixé, en travaillant dans le sens de
l’exigence, comme m’avait autrefois commandé l’apprentissage de mon instrument.

En conclusion, je dirais que j’ai recherché à travers les
mots et les phrases, la résonnance des sons et des harmonies que j’avais abandonnées.

Je suis né le 21 Juillet 1951, à Nantes, sous un beau soleil d’été, d’après les dires de Suzanne, ma mère.

Je suis le dernier d’une famille de cinq enfants, emblématique d’une petite bourgeoisie d’après-guerre, avec pour principal souci, le logement.

Mon enfance est heureuse mais solitaire. C’est un trait de caractère qui s’avérera tenace.

A douze ans, une pulsion se fait jour, plus intense que celle qui habite le corps d’un jeune adolescent, jouer d’un instrument de musique, plus précisément à vent. Ça sera le hautbois, sous les conseils de Maurice, mon père, pianiste amateur et ponctuellement  saxophoniste dans la musique d’un régiment de Quimper engagé dans la drôle de guerre.

Je serai hautboïste à l’opéra, d’après les dires de Marguerite qui me tenait lieu d’hôtesse de demi-pension, lorsque j’étais en quatrième au lycée de Chantenay- commune de Nantes, et qui se prétendait voyante.

Sa prédiction s’avéra juste, et l’opéra sera celui de Bordeaux. Un orchestre où l’on se tient au coude à coude, sera le lieu dans lequel s’épanouira  mon esprit solitaire, une contradiction qui se tiendra au centre de ma mélancolie bercée par les accents de Beethoven, de Brahms ou de Bruckner.   

Ensuite, l’écriture viendra au cœur de ma quête artistique, mais comme une ultime espièglerie de Till, il ne s’agira pas de musique, mais de littérature, pour laquelle je ne me sentais aucune prédisposition.

Je suis avant tout praticien de santé holistique / relaxologue / coach et je pratique depuis plus de vingt ans d'abord pour moi et ensuite après formations j'ai commencé à exercer et découvrir une dimension nouvelle.

Né en Belgique, j'ai vécu durant plus de trente ans en Afrique Centrale et Australe. J'y ai exercé les métiers de journaliste, photographe et coopérant bénévole.

De retour en Belgique, je me suis reconverti dans l'enseignement et ai terminé ma vie active en m'occupant de jeunes en difficultés sociales et scolaires.

Je tire mon inspiration de mes souvenirs personnels.

Originaire d’Auvelais en Belgique, j’ai découvert Tournai lorsque je suis venue faire mes études de graphisme à St Luc. Je m’y suis installée avec mon mari et j’y ai élevé mes trois enfants. D’abord graphiste indépendante, j’ai ensuite travaillé une dizaine d’années comme infographiste dans une entreprise de la région avant de me réorienter vers l’alphabétisation d’adultes.

Ecologiste de cœur, j’ai été conseillère provinciale Ecolo pendant six ans.

L’écriture, le jardinage et la peinture sont mes passe-temps favoris.

Frédéric Lefebvre s'engage en politique il y a 34 ans avec la volonté de changer son pays. Il rêve d'une France mondiale.

 Il possède une triple expérience de chef d'entreprise, d'avocat et d'élu. Ce sont les traversées du désert, aléas bien connus de la vie politique, qui lui permettent de se lancer dans l'aventure entrepreneuriale, en créant son entreprise de communication, lui qui admire depuis l'enfance ce grand père patron d'une PME familiale.

A 50 ans, il est père de deux enfants et marié à une graphologue qui travaille aujourd'hui à ses côtés.

Il débute sa carrière au cabinet de Jacques Chaban-Delmas (premier ministre de 1969 à 1972, et trois fois Président de l’Assemblée Nationale entre 1958 et 1988), avant de lier son destin à son ami Nicolas Sarkozy dont il est le conseiller pendant 25 ans. Élu successivement maire-adjoint de Garches, conseiller régional d'île de France, député des Hauts-de-Seine, il choisit en 2013 de relever le défi d’une circonscription nouvellement créée pour représenter les Français d'Amérique du Nord.

Homme d'action et de dialogue, il entre en 2010 au Gouvernement Fillon à la tête du plus grand portefeuille ministériel de la V^e République (il a été remplacé par 4 ministres). Il est en particulier  l'auteur d'une grande loi de défense des consommateurs, votée définitivement alors que Benoît Hamon l'a remplacé à ce poste. Il crée en 2011 la fête de la Gastronomie qui rencontre aujourd'hui un très grand succès. Enfin, il participe activement au lancement d'un plan ambitieux de « réduction de la paperasse » en vue de libérer les entreprises des lourdeurs administratives qui freinent leur croissance.

Depuis 2012, il s’investit dans Nouveaux Horizons, cercle de réflexion ou think tank qui entend rapprocher les citoyens de la politique en donnant la parole aux acteurs économiques, sociaux, culturels,  de terrain plutôt qu’aux experts. Il invite ainsi les Français à devenir co-législateurs en amendant les propositions de loi et de résolution avant leur dépôt sur le bureau de l'Assemblée Nationale.

Je suis né le 12/07/1976 à Saint-Brieuc dans les côtes d'Armor. Fils d'un père ouvrier, et d'une mère employée d'usine. Je suis licencié en psychologie d'une faculté Rennaise. J'ai intégré le Service de Santé des Armées, durant une dizaine d'années, projeté sur les théâtres d'opération dans le monde entier dans le cadre des missions de maintien de la paix. Je suis actuellement Aide-Soignant dans un service d'Urgence en Bretagne. J'ai toujours été passionné par la littérature classique et moderne, assez éclectique en matière de choix, et par l'écriture depuis quelques années. Je suis Pacsé, et j'ai deux enfants.

Ombres et Lumiéres

Le Chant de la Terre

La Lumière du Juste 

Specialized historian of Jewish resistance to Auschwitz student at the University of Paris Ouest Nanterre La Défense.

Je suis né à Kisangani ex Stanleyville de la République Démocratique du Congo. Actuellement je suis étudiant en hôtellerie à l'Université de Lubumbashi en 3e graduat... j'écris mon travail de fin de Premier Cycle.

Claire Martin débute sa carrière par des études d´assistant de service social. Cependant, elle opte pour la photographie quand elle prend conscience de l´intérêt de ce medium pour impulser des changements sociaux. Son travail de documentation auprès de communautés marginalisées au sein de nations prospères lui a valu en 2010 le prix Inge Morath décerné une fois par an par la Fondation Magnum à une jeune photographe de moins de 30 ans.

Claire est membre du célèbre collectif de photographes documentaristes “Oculi”. Ses œuvres sont distribuées en Europe par l´agence VU.

Claire vit à Perth sur la côte ouest de l´Australie où elle travaille comme photojournaliste indépendante et comme artiste soucieuse des questions sociales.

Jacques-François Martin é-chat-faude avec gourmandise une  "saga... chatoyante". Éclectique, il est par ailleurs l’auteur d’un dictionnaire consacré au développement durable et à l’environnement, ainsi que d’un roman promoteur de l'amitié franco-allemande : Le Cavalier de l'Alster.

Passionné de langues et de mots depuis sa tendre enfance, il a mis longtemps sa plume au service des agences de communication et a dirigé des enquêtes récurrentes sur les marques. Aujourd’hui, il écrit des biographies personnelles et familiales.

Alors pourquoi raconter des histoires de chats ? Simplement parce que le chat, s’il est l’animal le plus mystérieux de notre entourage immédiat, reste aussi l’un des plus attachants et recèle une inépuisable source d’humour, de curiosité et de tendresse pour qui tente de le comprendre.

 En se glissant dans la peau d’un chat (et quel chat !), l’auteur nous donne à voir le monde à travers le regard acéré d’un animal domestique… mais bien peu domestiqué ! Jacques-François Martin peut ici donner libre court à sa fantaisie et son imagination débordantes.

Quelques mots sur l’auteur

Né à Montréal le 11 mai 1952, dans une famille où, la reconnaissance sociale tient une grande place, il tenta aussi bien que peut se faire, de répondre aux attentes de son milieu familial.

Après des études en psychologie, il se consacra pendant des années, à la relation d’aide, trouvant dans le contact avec les malheureux, les désespérés, un certain réconfort ou du moins, cela lui permettait, d’éviter de se confronter à sa véritable nature, se conformant en cela, à l’éducation reçue.

Personne plutôt introvertie et solitaire, tel un caméléon, il s’adapte à son environnement et parvient même, à s'y faire une place du moins, c’est ce qu’il s’efforce de croire. Par ce premier roman, l’auteur brise le silence et ose pour une fois, devenir l’écrivain dont il rêve et cela, depuis son enfance.

A l'âge de 4 ans, j'ai dû me faire opérer des amygdales. Quand l'infirmière m'a enveloppée dans un drap et posé un masque sur le nez j'ai cru que ma dernière heure était venue. Cela a été le point de départ de ma vocation de médecin: soigner sans aucune violence, dans le respect de la personne et de sa physiologie. Alors plus tard, grâce à ma mère, j'ai pu faire des études de médecine, mais j'ai toujours été insatisfaite jusqu'à ce que la providence me permette de m'inscrire au diplôme universitaire de médecine naturelle de Bobigny en même temps que je commençais un internat très instructif.

Plusieurs années plus tard, il m'a semblé logique de compléter mon cursus en devenant homéopathe. Aujourd'hui, j'ai acquis une sérieuse expérience qui me permet d'aider utilement les personnes que je soigne à retrouver la santé tant que le point de non retour n'est pas franchi (avec la naturothérapie) et à retrouver les moyens d'être heureux avec ce qu'ils sont. Cette dernière partie n'est pas la moins importante.

Elle est le résultat d'une utilisation non conventionnelle de l'homéopathie que j'ai tenté d'apporter au plus grand nombre en publiant "guide de l'homéopathie  de l'humeur" il y a quelques années, ouvrage qui est épuisé actuellement mais que je voudrais réimprimer, ainsi que les livres du même ordre que j'ai écrit et qui sont en attente de publication.

Né le 12/05/1984 à Lubumbashi ( RDC), diplômé en informatique générale de L'université protestante de Lubumbashi.

Honoré Gabriel Riqueti, comte de Mirabeau, plus communément appelé Mirabeau, est né le 9 mars 1749 au Bignon-Mirabeau, et mort le 2 avril 1791 à Paris. Ecrivain et diplomate, journaliste, figure politique majeure de la Révolution Française, membre de la Franc-maçonnerie, il demeure un personnage controversé qui a usé et abusé de tout, à un moment charnière de l´Histoire de France.

Après des études à la faculté de droit de l´université d´Aix-en-Provence, il est incorporé en 1768 à un régiment et participe à la campagne de Corse (1768-1769). Il s´endette, provoquant la colère de son père, et gagne une solide réputation de libertinage qui ne le quittera plus.

Libéré des obligations militaires, il épouse Émilie, fille du puissant marquis de Marignane. Leur unique fils meurt en bas-âge. Elle demandera et obtiendra la séparation de corps en 1782.

Pour le soustraire à ses créanciers, son père le fait plusieurs fois enfermer au fort de Vincennes, puis exiler au château de Joux, en Franche-Comté, d´où il s´enfuit aux Provinces-Unies (Pays-Bas).

Après la publication de son Essai sur le despotisme en 1776, Mirabeau est condamné à mort par contumace, puis extradé et emprisonné au château de Vincennes de 1777 à 1780. Il y tue le temps en composant de nombreux ouvrages, parmi lesquels des traductions d´œuvres latines et des œuvres publiées plus tard sous le manteau : pamphlets politiques et romans libertins. Dès sa sortie de prison, il voyage un peu partout en Europe. Il est chargé d´une mission diplomatique à la cour de Berlin, mais ses écrits sur le roi de Prusse Frédéric II provoquent un nouveau scandale.

Il participe en 1788 au côté de Brissot, Clavière et Condorcet à la fondation de la Société des Amis des Noirs qui réclame l´abolition immédiate de la traite des Noirs et la disparition progressive de l´esclavage dans les colonies.

Au moment des élections aux États Généraux de 1789, il désire passionnément en faire partie. Sa candidature écartée par la noblesse du bailliage d'Aix, il ouvre un commerce de drap et se fait élire député du tiers-état.

Orateur prestigieux, il joue un rôle éminent pendant les débats des États généraux. Très actif, il sait s´approprier habilement les pensées des autres, en y ajoutant le prestige de son éloquence. Partisan d´une monarchie constitutionnelle, dont il serait le premier ministre et le tuteur, il devient le conseiller privé (rémunéré) de Louis XVI.

Son décès, à Paris le 2 avril 1791, cause dans tous les partis une profonde stupeur et est ressenti comme un deuil national. Sa mort est attribuée à un empoisonnement par certains, aux excès ininterrompus d´une vie de plaisirs, jointe aux fatigues d´une intense activité publique, par d´autres.

Charles Louis de Secondat, baron de La Brède et de Montesquieu est né le 18 janvier 1689 à La Brède et mort le 10 février 1755 à Paris. Il est un penseur politique, précurseur de la sociologie, philosophe et écrivain français des Lumières

Je suis photographe, dessinateur, écrivain, jardinier. J'écris depuis l'âge de 13 ans. Je viens de rédiger une autobiographie et un roman, j'ai tenu un journal autocritique pendant douze ans. J'ai emménagé dans un studio à Caen au Calvaire Saint Pierre. J'ai fait partie d'un atelier d'écriture intitulé : "C'est quoi ce bazar" en 2010.  

Je vis des moments importants dans ma vie présente que je voudrais faire partager avec les gens en grande difficulté d'intégration. D'un cercle "vicieux" dans lequel j'étais prisonnier pendant 40 ans, je suis passé à un cercle "vertueux" en me faisant adopter par des humains aux conditions modestes, mais avec un coeur en or que je n'ai vu nulle-part ailleurs.

Je suis ouvert à toutes les tendances, toutes les opinions des humains du monde entier. Je rejette toute forme de radicalisme et de diffamation  fondés sur le totalitarisme passé, présent et futur. J'ai mes bêtes noires comme tout le monde et de gros défauts.

Je prends le risque d'étaler une tranche de ma vie privée où certaines personnes en prennent pour leur grade. J'ai modifié leur identité afin qu'on ne les reconnaisse pas, mais je n'ai pas été très méchant avec eux. 

je suis né le 9 juin 1959 à Caen

j'ai déjà publié sur ce site. J'écris depuis l'âge de 13 ans des romans et des journaux intimes. Je fais de la photo, de la peinture et du jardinage. Je suis bibliophyle je collectionne des miniatures et j'ai un chat. 

En 1950, après une enfance dans un orphelinat italien, Jacques Moscato s’installe à Aix-en-Provence avec une partie de sa famille. Adolescent, il a la « révélation » de la musique. Les événements s’enchaînent alors rapidement. Il dirige à 19 ans sa première tournée de concerts et devient en 1969 le plus jeune Directeur de Conservatoire. Il vient d’avoir 24 ans. Il entame alors une carrière de chef d’orchestre international qui l’amènera jusqu’en Australie.

Il prend en 1979 la direction de l’Académie de Musique Fondation Prince Rainier III de Monaco, poste qu’il occupe jusqu’en 1997, tout en dirigeant chaque année l’Orchestre Philharmonique de Monte-Carlo.

Plus récemment, Jacques Moscato entame une activité littéraire intense.

En 2010, après la sortie en France de sa biographie, il publie un premier roman, Roberta, aux éditions Au Pays Rêvé/Ovadia, sur le thème de l’hermaphrodisme. Il poursuit en 2011 avec un conte pour enfants, Matarel le gentil Dino'. En 2014,  après plusieurs écrits sur la musique et un recueil de poèmes, il publie son second roman, L'Arche de Milàn.

Moi, j'aime écrire des choses qui mélangent la réalité et le faux. J'écris pour les jeunes en général. Mes seuls lecteurs (pour le moment) sont ma famille et quelques de mes ami(e)s! J'espère me faire lire ici ! ;)

Né le 28 Février 1976 A MBO A L’ouest du Cameroun, Jodelet Dulong Ngompe Tatiemzi fit ses études à l’université de Yaoundé I, où il reçut sa maîtrise ès lettres modernes françaises. Rentré à Bafoussam au cœur de la région de l’Ouest Cameroun, il devint professeur de français.

pabloemma est un poète contemporain de son vrai nom ngon a ngon emmanuel, il fut le 10 décembre 2009 lauréat d'un prix de reconnaissance par lupeppo international et en 2011 il reçut un diplôme pour la griotique à laquelle il participa en tant que poète griot.

Je suis un jeune africain originaire de l'ouest du Cameroun très passionné par la lecture. En fait il y a de cela 2 ans j'ai décidé de partager mes connaissances mes expériences acquises tout au cours de mes multiples lectures et essaie de pratiquer. Je suis un jeune écrivain pas connu du public et c'est pour cela que je me suis inscrit ici afin de me faire connaître de par le monde. A vous la suite !

Avec un humour distancié, Pascal Olive se décrit comme une erreur de casting ! Des origines ouvrières, matheux, il suit une voie toute tracée pour décrocher un diplôme d'ingénieur d'une grande école. Il se retrouve alors immergé dans le monde de l'industrie auquel il ne se sentait nullement destiné. Avec le recul, il reconnaît que ce parcours lui a « paradoxalement beaucoup appris sur les relations interpersonnelles ».

Au contact d'amis sociologues, il part à la découverte des sciences humaines, monde bien plus alléchant à ses yeux que celui de la technique. En l'invitant à s'ouvrir résolument aux autres, ses mentors lui donnent envie d'écrire, complétant ainsi avec bonheur sa passion de toujours pour la lecture.

Homme aux multiples talents, il se consacre en parallèle à son autre passion pour la sculpture, le dessin et la peinture. Ses œuvres sont marquées par la volonté de déformer la réalité des visages et des corps avec l'outrance de ses émotions, de ses rêves et de ses fantasmes pour en dévoiler les singularités et la part d'intimité.

Avec Têtes à têtes, son premier roman publié, Pascal Olive assouvit son désir de partage et de défense de l'homme et des valeurs de respect et d'écoute qui le portent profondément.

Professeur de Lettres, je suis également romancière, dramaturge, parolière, metteur en scène, comédienne et chanteuse. Je dirige la compagnie La Dorée ainsi que le Pilier des Arts, petite salle de spectacle conviviale dédiée au théâtre amateur de qualité, située à Rosheim dans le Bas-Rhin.

Mes chansons :  http://www.compagnie-ladoree.fr

Mes pièces de théâtre : http://www.leproscenium.com

Le programme du Pilier des Arts : http://www.le-pilier-des-arts.fr

Mes romans ont été publiés sur différentes plateformes.

D'abord quatre recueils écrits sous Qad Yougal, ensuite, corrigés, c'est sous mon nom Mourad Ouhssaine. Le projet c'est 1000 & 1 poèmes dans un recueil.

Au 24 juillet, entre autres, j'ai écrit plus de neuf cent poèmes.

Ovide (Publius Ovidius Naso), né en 43 avant Jésus-Christ en Italie centrale (Sulmona), est un poète latin à l´époque de la naissance de l´Empire romain.

Il étudie le Droit à Rome, puis à Athènes et devient avocat. Il voyage en Grèce et en Sicile. Passionné par les mythes gréco-latins, remarquablement doué pour la rhétorique, il trouve dans la poésie élégiaque le moyen d´exprimer son immense talent.

De retour à Rome vers 29-25 av. JC, il s´adonne exclusivement à l´art poétique et rencontre rapidement succès et reconnaissance auprès de l´élite romaine. Il consacre l´essentiel de ses premières années de carrière à des œuvres érotiques comme Les Amours, Les Héroïdes et l´Art d´Aimer. Publié au tout début de notre ère, cette dernière consacre Ovide comme l´un des plus éminents poètes élégiaques de son temps. Puis, il publie son chef d´œuvre, Les Métamorphoses, poème épique qui relate l´histoire du monde.

En l´an 8 après JC, il est exilé à Tomis en Roumanie par ordre personnel de l´Empereur Auguste. Bien qu´il n´en existe aucune preuve, la publication de l´Art d´Aimer, faisant fi des barrières du mariage, a pu aller à l´encontre de la vision morale de l´empereur. Ovide reste à Tomis jusqu´à sa mort et continue à écrire. Ses dernières œuvres sont très et touchantes tant elles sont marquées par la solitude et l´espoir d´être rappelé à Rome.

Plein de verve et d´originalité, Ovide n´a cessé d´influencer poètes et artistes depuis deux mille ans, parmi lesquels Ronsard, Molière ou encore Shakespeare. Il demeure une des principales sources de la mythologie classique.

Max Pam est un photographe australien mondialement célèbre. Né à Melbourne en 1949, il grandit dans une banlieue étouffante et culturellement isolée. L’émergence de la contre-culture de la fin des années 60 lui offre une porte de sortie vers le vaste monde.

Max Pam quitte l’Australie à l’âge de 20 ans pour accompagner un astrophysicien en tant que photographe. Ce premier voyage de Calcutta à Londres révèle sa vocation. Depuis lors, voyager est le fil conducteur de son développement artistique et personnel. Au fil du temps, il s’attarde dans de nombreux pays, mais préserve toujours son humanité, son optimisme et son sens de l’empathie.

Ses carnets de voyage sont autant d’occasions de jeter un regard nouveau et politiquement incorrect sur des pays que l’on croit connaître. Une fois acceptée sa fantaisie, sa liberté d’artiste et son sens de la provocation, on voit le monde à travers ses yeux, ceux d’un éternel adolescent qui poursuit les rêves des années 60. Chaque photo est un don et une rencontre improbable entre le spectateur, le sujet et ce blanc inconnu aux lunettes rondes et cheveux longs !

Max Pam enseigne aujourd’hui à l’Université Edith Cowan à Perth, Australie Occidentale.

Ses photos ont été publiées dans les principales revues internationales ; elles sont présentes dans les grandes collections publiques et privées en Australie, Grande Bretagne, France et au Japon.

Récompenses et Prix :

2010 : prix du Festival International de Photographie PhotoEspaña, Madrid

1992 : Grand Prix du Livre Photographique pour "Going East", Paris

Principales publications :

2013 : Supertourist, Editions Bessard, Paris

2012 : Burma, Zine Collection #4, Editions Bessard, Paris

2011 : Ramadan in Yemen, Editions Bessard, Paris

2009 : Atlas Monograph, Max Pam & Stephen Muecke, T&G Publishing, Sydney

2002 : Kailash, Les Imaginayres, Toulouse

2000 : Indian Ocean Journals, Max Pam & Patrick Remy, Steidl, Göttingen

1999 : Max Pam, Collection L'Oiseau Rare, Filigranes Editions, Paris

1999 : Ethiopia, Les Imaginayres, Toulouse

1992 : Going East : Two Decades of Asian Photography, Editions Marval, Paris

1992 : Human Eye, Sogo, Nara

Principales expositions :

2004 : stripTEASE – Max Pam, Centre australien pour la photographie ; Ambassade d’Australie, Paris

2002 : Meridian – Focus on Contemporary Australian Art, Musée d’Art Contemporain, Sydney

2002 : Red Light, Centre australien pour la photographie, Sydney

1999 : Signature Works – 25th Anniversary Exhibition, Centre australien pour la photographie, Sydney

1992 : Rétrospective Max Pam, Musée des Arts Nara Sogo, Nara

1990 : Max Pam : 1971-1990, Comptoir de la Photo, Paris

Je suis auteur depuis une vingtaine d'années. J'ai publié essentiellement en livres collectifs chez des éditeurs parisiens très connus, puis quelques ouvrages en solo, ainsi que des textes de nouvelles et de poésie en revues nationales et internationales. Je possède actuellement des textes inédits de romans (érotisme, de société), ainsi qu'un texte pour la jeunesse (les ados, plus particulièrement). Votre maison d'Edition m'interpelle.

Bonjour, je m'appelle Maelan Paranthoen et je suis ce qu'on appelle une auteur en herbe.

J'ai seize ans et souhaite partager avec vous ce premier roman. Soyez critique mais bienveillant.

Merci.

Né en 1964 à Bucarest (ROUMANIE). Fils du poète Miron Radu PARASCHIVESCU et de la journaliste Elena PARASCHIVESCU. Diplômé de l'Ecole Polytechnique de Bucarest. Actuellement ingénieur de production informatique dans le groupe AXA.

J'ai écrit 2 ouvrages sur le Rugby à XIII et un autre intitulé "Les coulisses de l'Eté à Biarritz...".

L'auteur est psychanalyste et s'intéresse à l'histoire des femmes en général.

Elle est passionnée d'autre part par l'Histoire des XII et XIII° siècles et s'aventure à la rencontre des femmes étonnantes de cette époque

Blanche Plinval nous propose ici son premier roman.

Si vous souhaitez discuter avec l'auteur, vous pouvez la contacter à cette adresse blanche.plinval@gmail.com

Originaire du Gabon, d'un père fonctionnaire et d'une mère ménagère, sa passion se découvre tout d'abord par la bande dessinée où il associe deux techniques. Celle du style Comics des bandes dessinées américaines par rapport aux personnages et ensuite les cadrages des mangas qui se rapprochent plus de celui du cinéma.

Etant confronté aux multiples problèmes que rencontrent les dessinateurs de son entourage, Racine décide sur les conseils d'un ami d'écrire son premier livre fantastique. Découvrant, le monde sévère de l'édition, il opte pour l'auto-édition où il publie ces trois livres: Le péché des dieux I et II, Le secret du Cyrénéen.

La cinquantaine. Je travaille dans une ONG à Bruxelles, dans un centre d'alphabétisation pour adultes.

la chanteuse accordéoniste française explore un répertoire international - francais, italien, anglais, allemand - composé de reprises et compos, aux confins du chant troubadour, de l'air baroque, de la chanson française et de la musique ambient.

ses costumes de scène, inspirés de la science-fiction rétro d'un fritz lang ou d'un man ray, sont élégamment high tech.
elle a chanté régulièrement sur france culture pour l'émission de frédéric mitterrand "ça me dit l'après-midi", et sur arte pour "die nacht/la nuit" .
elle s'est produit pour de nombreux évènements internationaux de prestige dont davos, les défilés de mode de jean paul gaultier, reem acra et betsey johnson, la biennale de venise ... dans des pays aussi variés que le japon, les usa, la jordanie, le liban, la france, l'italie, la suisse ...

ses chants agrémentent plusieurs films et publicités tels les dessins animés du célèbre réalisateur américain indépendant bill plympton ou le spot volkswagen du superbowl 2001, et ont été entendues sur la radio en vol de delta airlines, et radio david byrne. nicole a enregistré pour ryuichi sakamonto, towa tei et keren ann.

elle partage son temps entre new york, capri et paris.

Né en 1963 à Paris XVe, j'ai d'abord été rédacteur chez Gai pied Hebdo chargé de la rubrique Gai Savoir sous la direction de Hugo Marsan. J'ai publié de très nombreux articles sous le pseudonyme de Nickie Cumberland.

Professeur de philosophie, j'enseigne au lycée des Pierres Vives de Carrières-sur-Seine et à l'Ecole des Sciences Sociales de Cergy. 

Docteur de l'Université de Paris I, je suis l'auteur d'une thèse intitulée La culture gréco-latine dans l'oeuvre de l'exégète et théologien Cornelius a Lapide.

Histoire imaginaire, les aventures de Tomoe font faire une promenade au pays de la rêverie, détente de l'esprit.

L'écriture me passionne et depuis longtemps je rédige des nouvelles. Quelques amis m'ont proposé de publier ce qui m'a poussé à présenter sur ce site une de mes histoires.

Chacun d’entre nous pense avoir une place sur terre. Tout le monde ne pense pas la même chose. Certains pensent même qu’ils ne méritent pas d’y être. D’autres n’en profitent pas assez. Néanmoins, nous nous accorderons à dire que chaque vie à un prix. Il suffit juste de mettre en relief les possibles profits pour l’individu concerné.

L’homme est avide de profit, de vie, de plaisir, en quête infinie d’accomplissement de soi. Cette quête met en forme l’optique même de l’argent dans notre monde moderne. Tout s’achète, tout se vend.  Depuis l’antiquité Romaine jusqu’aux abus de certaines célébrités de la finance de notre monde actuel.

Etant enfant, nous avons eu droit à tous ces films américains, une description du héros tellement idéaliste qu’elle en devenait ridicule. Et pourtant on nous laisse vivre dans cette optique de bien et de mal. C’est seulement après une vingtaine d’années d’existence que l’on se rend vraiment compte de ce que l’on désire. Des ambitions floues ? Surement. Question couleur je penche pour le gris. Il suffit de se plonger quelques heures dans le code des impôts pour y comprendre nombre de niches qui ne cessent d’exister. Nos parents nous ont inculqué discipline et éducation. Nous savons quel sens a le mot travail. Nous sommes fils de cadres, de médecins, d’avocats et de chefs d’entreprises. Inconsciemment nous sommes amenés à choisir les positions les moins contraignantes dans un monde soi-disant en crise. L’importance des réseaux est décisive plus que jamais. Ainsi, chacun d’entre nous choisit sa voie, en fonction de ses expériences personnelles. L’envie de réussir, de s’accomplir passe par la voie de l’argent. Personne ne veut en parler directement. C’est un tabou dans notre société qu’est la France. A mon grand regret je semble être un des seuls à assumer mon avidité personnelle. A 20 ans, n’ayant pas terminé mes études, et voyant ce monde arraché par les difficultés et la violence. J’avoue n’avoir aucun mal à licencier bon nombre de personnes si l’on me l’ordonnait. C’est un sale travail, que bon nombre de personnes aiment à oublier, mais il est toujours présent. Des offres d’emplois et de stages qui s’amenuisent. Des offres d’emploi temporaires qui se multiplient et réduisent de plus en plus les possibilités d’évolution de carrière pour les intéressés.

Nous deviendrons DRH, conseillers financiers, traders, professionnels du marketing, dans un système où chacun ne doit sa réussite qu’a lui-même. Je me rappelle avoir entendu le mot « égalité des chances ». Sérieusement, pensez-vous qu’un fils de roumain ne parlant que vaguement le français puisse avoir autant de chances qu’un fils de cadre avec un bon réseau ? C’est cette illusion qui permet à la France de ne pas céder sous une révolution populaire et permet de garder le pouvoir en place. Ce même pouvoir gardé par des fils d’ambassadeurs et autres élites de la société. Je suis un homme de droite, et je ne dois cette position qu’à ma naissance dans une famille de médecins. Une bonne éducation ainsi qu’une chance de faire du profit dans un futur proche. Vous me direz « il est fou et n’a écrit ces quelques lignes sous l’emprise de l’alcool ». Réfléchissez, au plus profond de vous, et osez dire que je me suis trompé.

L’avidité, source de motivation et de profit pour chacun de nous. Elle est la source de nos désirs pour tous nos actes de création de richesses. Le patriotisme a disparu, le sentiment d’être Français et de protéger la république n’est présent qu’au sein de la garde républicaine. Notre pays est en danger de mort. Nous sommes face à un futur colonisateur chinois avec lequel nous achetons nos produits bas de gamme. Mais demain nous lui achèterons nos produits de tous les jours et serons dans une dépendance irréversible. Discrètement, ils achètent nos technologies, nos brevets et autres innovations. Ils nous achètent avec une monnaie qu’ils créent de toute pièce. Pour eux cela n’est que du papier. D’un coup de crayon ils peuvent changer leur taux de croissance et maitriser leur puissance démographique. Ce n’est pas la fin. Car nous avons encore une main d’œuvre très qualifiée, qu’il faut garder et payer afin d’éviter d’autres exils financiers notamment aux Amériques. Nous les sous estimons, comme les anglais sous estimaient les 13 colonies américaines à l’aube du 19^e siècle. Ne faisons pas la même erreur, jouons leur jeu et tirons profit de leur stratégie.

Un autre problème capital de notre système semble être les banques. Un de mes amis les plus chers ayant longuement disserté sur le sujet. Les banques, acteurs principaux de notre économie capitaliste ne se soucient guère de la santé économique des états, et reflète ainsi  l’esprit ultra libéralisé de notre monde occidental : chacun pour soi et dieu pour tous. Les chefs d’états tirant leur pouvoir de ces institutions monumentales ne peuvent réellement accomplir aucune action directe contre elles. Nous aimons à croire que voter puisse changer la face du monde, voter gauche ou droite. Pensez-y, ils ont peut-être assumé de hautes fonctions de gestion. Ils ont peut-être consacré leur vie à l’intérêt général. Mais seront-t-ils capable de changer le système dans lequel nous vivons ? Rien n’est moins sûr. C’est ainsi qu’ j’ai perdu toute foi en tout mouvement politique. Je ne suis pas anarchiste, je suis attaché aux valeurs de la république. Mais quand la république est contrôlée par des grandes firmes, il faut se poser des questions. Il ne suffit que de mentionner le groupe Bettencourt et Bolloré ou Tapie dans les années 2000 pour comprendre leur rôle financier. Même au temps de Mitterrand et ses campagnes politiques virales. Le pouvoir n’est aux mains que de ceux à qui est laissé le champ libre. Tant au point de vue Financier, que social. Des politiques pour aider les défavorisés, tant mieux, mais nous restons dans une optique égoïste et nombriliste.

La création de l’Europe et de l’€ dans les années 2000. Une grande fierté personnelle jusqu'à la présente. Ayant comme capitale Strasbourg, une des plus belles villes Alsaciennes. C’est un esprit commun qu’il faut adopter, et non indépendantiste. Avec la mondialisation et la multiplication des paradis fiscaux, il est temps d’une politique globale. D’une unification européenne. Alors que chaque état ne voit que ses profits personnels, ce n’est qu’une remise à l’échelle des ambitions personnelles d’un homme à l’échelle d’un pays. Qui n’aurait pas envie de profiter des plus belles joies de la gente féminine, des plus beaux palaces de Louxor ? Le dévouement politique ne devient ainsi qu’un travail pendant que notre jeunesse s’enlise dans l’alcool et le tabac. 90% des Français gagnent moins de 20K€ par an. Tandis que nous examinons les niches fiscales pour payer moins d’impôts, d’autres enchainent les doubles emplois et se font exploiter par des patrons peu scrupuleux. Il y a une chose qu’il faut savoir dans la vie. Donne et Dieu te le rendra. Il faut appliquer une part de cette vérité dans nos rémunérations. C’est en supprimant les inégalités non pas économiques mais culturelles et sociales que nous arriverons à équilibrer notre pays. L’homme est un animal comme disait Rousseau. Il faut donc s’adapter et ne pas se surestimer. Nous se sommes que des animaux qui recherchons le profit, même en ayant une conscience.

Donatien Alphonse François de Sade est un écrivain français né le 2 juin 1740 et mort le 2 décembre 1814. Après de solides études, une bève carrière militaire, il entame une vie d´aventures, jalonnée de scandales, d´arrestations, de procès perdus et d´évasions. Au seuil de sa vie, il a été condamné à mort à deux reprises, a été poursuivi et emprisonné sous tous les régimes et a passé plus de trente ans derrière les barreaux ou interné comme aliéné. Mais Sade n´est pas fou…

Il nous laisse une œuvre littéraire considérable, publiée sous la Révolution, le Consulat et l´Empire, puis au XXe siècle. Il a composé une douzaine de romans, la plupart de vaste dimension, une soixantaine de contes, une vingtaine de pièces de théâtre, de nombreux discours et pétitions ainsi qu´une correspondance nourrie. Un quart environ de ses manuscrits a été détruit par la police du Consulat et de l´Empire.

Enfermé plus de la moitié de sa vie d’adulte, Sade laisse son imaginaire explorer jusqu´au délire un monde de volupté et de violence tout en faisant de ses personnages les porte-parole d´une pensée politique, sociale et philosophique purement révolutionnaire. Sade utilise l´érotisme et l´outrance, il choque, il horrifie le lecteur pour retenir son attention et le contraindre à réfléchir. En cela, il est bien plus subversif qu´obscène, et plus dangereux pour une société agonisante dont il ne reconnaît plus les conventions et les simulacres sociaux et religieux.

Sade se montre un matérialiste convaincu et se proclame « athée jusqu´au fanatisme ». Gilbert Lely dans sa Vie du marquis de Sade interprète son athéisme comme « une égale et furieuse réprobation de tout ce qui représente à ses yeux une entrave à la liberté native de l´homme, qu´il s´agisse d´une tyrannie d´ordre religieux, politique ou intellectuel ». Cette soif de liberté fait de lui un chantre d´une république strictement laïque, à laquelle il réclame des « lois… si douces, en si petit nombre, que tous les hommes, de quelque caractère qu´ils soient, puissent s´y plier. » et interdit de se mêler de la vie des citoyens, hommes ou femmes, à égalité de traitement. Vous avez dit moderne ?

Sade jouit du redoutable privilège d´avoir un patronyme associé dans le langage courant à toutes sortes de perversions. Son œuvre mérite de dépasser ces préjugés pour découvrir un écrivain à la langue magnifique, un provocateur à l´humour (très) noir, un philosophe subversif, un homme libre. Non, Sade n´est pas fou !

Je suis Passionné de lecture et d'écriture. Le plus important pour moi dans cette vie, c'est de raconter des histoires.

Djé SaintJames est né à Marseille, le 26 juillet 1974. Cet artiste dispose de plusieurs cordes à son arc ; musicien, chanteur, peintre, acteur et écrivain ; une pluridisciplinarité étonnante.

Très tôt il s’intéresse à l’art.

Il débute le violon et obtient dès ces 7 ans le premier prix de violon au conservatoire de Musique de Marignane sous la direction Yvon Strauss jusqu’à ces 11 ans.

Puis, il fait du théâtre pendant 5 ans l’Ecole d’Art Dramatique (EAD) dirigé par Pierre-Marie Dupré. Sa marraine n’est autre que Claude Gensac. Il obtient des petits rôles au côté de Michel Galabru, Jean Lefebvre, Denise Grey, Aldo Maccione, Jean Le Poulain.

En parallèle, il travaille le piano en autodidacte, pendant 4 ans puis ’inscrit à l’Institut Musical de Formation Professionnel (IMFP) en 1994. Il suit des formations avec Michel. Petrucciani, Gilles Labourey, Pierre Cammas.

Arrivé sur terre un beau matin du mois de juin 1956 à Paris, Thierry Saintot est poète, nouvelliste et romancier. Il a remporté de nombreux concours d’écriture. Il publie plusieurs recueils de nouvelles et de poésies ainsi que des romans dont « Accès Interdit », livre numérique confié à UPblisher, pour votre plus grand plaisir. Un savant mélange entre le polar et le thriller psychologique, truffé de rebondissements inhabituels. Son style est original, acide et drôle à la fois et la lecture de ses textes ne peut laisser indifférent.

Thierry Saintot vient de remporter un Prix au Grand Concours Littéraire du Monde Francophone 2011 pour Accès Interdit. Bravo à lui ! Comme le jury lisez et appréciez ce roman passionnant.

Retrouvez-le aussi sur www.thierrysaintot.com

Heidi Anna Salicites publie ici son premier livre numérique trilingue.

Elle est née à Graz, en Autriche. Elle est issue d´une grande famille favorisant le développement intellectuel des enfants, ainsi que l´amour pour les arts et la littérature. C’est ainsi qu’elle découvre très tôt tous les grands auteurs. Ses parents l´encouragent à lire, écrire et créer, sans aucune logique mercantile.

« On ne fait bien que ce qu´on aime », Heidi Anna Salicites l´a prouvé en fondant une association en faveur des enfants hospitalisés pour lesquels elle concocte des petits contes inspirés de sa propre enfance, en offrant aux enfants une écoute et beaucoup de compréhension afin de les aider à grandir, à se développer et à s´épanouir. D´une certaine manière, les personnages de ses livres reflètent la vie de famille qu´elle a connue dans son enfance. Inconsciemment, elle désire certainement faire revivre ce bonheur.

Heidi Anna Salicites reverse 20% de ses droits d´auteur aux enfants hospitalisés. www.le-soleil-levant.com

Un grand merci à toute l'équipe pour ce projet innovateur:

Création de la couverture du livre: Sophie TURREL www.sophieturrel.com

Traduction – Relecture : Bill Dunn, Dalila, Sophie, Marie, Philippe, Chantal et Jean-Pierre, Paul, Karine, Hanna, Anneliese

Conseil de la création artistique: Michèle, Catherine, Ursula, Maria et Mr Jakob Teckel

Images du texte: Heidi Anna

Passionnée de lecture et d'écriture, mon plus beau rêve serait de publier mes nouvelles et mon roman (qui est en cours).

Née le 29 mars 1982 dans un pays plein de rayons de soleil et d´arcs en ciel, j´espère qu´à travers mes nouvelles, quelques-uns d´entre vous m'encourageront avec de beaux compliments.

Diplômée du PGSM Paris, spécialisation "Ressources Humaines" et poste actuel "Gestionnaire Paie", je souhaite que mes oeuvres soient lues et connues partout dans le monde.

Je souhaite rencontrer des éditeurs, illustrateurs...afin d'élargir mes projets littéraires.

Passionnée de jardinage, je possède un blog jardin avec de nombreux conseils, astuces, idées...dont je voudrais faire un e-book.

Mon premier projet concerne les plantes aromatiques, leur culture, leur conservation, leur utilisation, leur multiplication.

Par la suite, d'autres thèmes seront édités.

Née le 7 juillet 1955 à Lyon (Rhône) mère de deux enfants la muse poésie guide mes pas depuis toujours, Victor Hugo, Lamartine, Maupassant et tant d’autres ont bercé mon enfance.

La poésie est un chemin sinueux où j’ai guidé mes pas, les yeux dans les nuages et les pensées rivées vers des horizons imaginaires. Il y avait les premiers pas hésitants et curieux et plus tard, bien plus tard, les blessures de l’âme, vraiment profondes ou carrément légères.

Je souhaite que chaque ami qui me lise comprenne et traverse ce jardin secret. Mes bleus à l’âme peuvent être aussi les vôtres, mes engouements, mes passions, mes amitiés et mes amours peuvent avoir cette intensité que j’ai traduite par des mots, comme un artiste le ferait avec ses mains pour modeler, avec son pinceau pour peindre et avec son burin pour sculpter. Appropriez-vous mon histoire, cela ne m’enlève rien au contraire…

Souvent la poésie est perçue comme un art pompeux et compliqué, rien de tel, un stylo, un papier et le désir de coucher là le moment fugitif, le bonheur, la tristesse, le gros chagrin, et voilà, la clef ce sera ce poème qui bien des années après rappellera à l’auteur un doux moment d’émotion.

Si vous ressentez de la tendresse et de l’amitié en lisant mes vers c’est que je suis comprise, que vous m’avez discernée comme je suis, authentique et vraie, avec comme seuls arguments la passion que je voue à la poésie, la joie de partager ces moments avec vous, cet instant unique et fort qui fait de moi un être original, sensible et attachant.

Narratrice, poète et peintre autodidacte née au Nicaragua, Maritza Sevilla réside depuis plus de quarante ans à Panama City. Elle a fait partie du corps diplomatique de son pays depuis la fin des années 1970. Elle a été Ambassadrice du Panama au Nicaragua entre 1975 et 1978. Elle a publié les livres « Un Colibri en Sibérie », fruit de ses nombreux voyages à travers le monde, traduit en anglais, en russe et en français et « La maison des baisers ensorcelants » (INAC, Institut National de la Culture de Panama), un carnet de voyages géographiques et spirituels à travers l´Europe et l´Amérique Centrale, qui contient des poèmes, des récits et des chroniques de voyage.

Elle a réalisé les expositions « Un Colibri en Sibérie » en septembre 2001 et « Dallet (Portes) », en décembre 2010 à l´INAC. Récemment, dans le cadre de la Première Fête de la Mer de Taboga a été jouée la pièce « Le départ de Colibri », comme une entrée symbolique vers de futurs projets socioculturels. Elle a par ailleurs été invitée par le Gouverneur de Omsk pour assister, en qualité d´invitée d´honneur, au Festival « Panorama des théâtres ».

Tchamy Patterson président du laboratoire Tchamy d'ingénierie, directeur du magazine le miroir agricole international du commerce équitable, ancien élève du collège protestant Ndoungué Cameroun

Ancien étudiant à Columbia College Chicago

auteur compositeur arrangeur,auteur d'essai la faim de la terre pourquoi le pire est assuré

Michel VAN EFFENTERRE est né à Boulogne Billancourt en 1948. Après ses études supérieures (Maîtrise de gestion à l’Université Paris-Dauphine et DECS), ses activités professionnelles et ses séjours à l’étranger l’ont amené à côtoyer pendant plusieurs années les mondes de la finance et de la politique. Il s’est forgé sur ceux-ci une certaine opinion dont il a voulu faire un livre à la fois drôle, déjanté mais avec une réelle dimension intellectuelle. Etant maintenant à la retraite à l’Ile Maurice, il a commencé son écriture au début de 2014. C’est sa première œuvre qui a été conçue uniquement comme un récit imaginé et non comme un roman de mœurs ou de société.

Depuis près de vingt ans, Sylvain Vassant conçoit des séjours découverte pour le leader du voyage culturel avec conférencier. Les itinéraires qu’il crée orientent vers des sites historiques de grand intérêt des personnes désireuses d’accéder à une compréhension profonde de l’environnement et des évènements qui ont produit ces mêmes sites.

Sinisant, décrit comme un « esprit sans frontière », il a lui-même voyagé et vécu dans de nombreux pays à la rencontre de peuples, séparés par la distance, mais proches par la manière de relever le défi de la survie. Ainsi son expérience, conjuguée à de solides recherches, lui permet-elle d’établir un certain nombre de ponts entre les cultures et les civilisations et de forger sa propre opinion sur les mouvements longs de l'histoire.

Il en fait la synthèse dans un brillant essai sur « l'intelligence regroupée » intitulé Les civilisations-mères et leurs énigmes.

Découvrez le berceau de nos civilisations à travers le site de Sylvain Vassant : civilisation.online

Jules Verne est l’auteur français le plus traduit dans le monde. Né en 1828, il est l’initiateur en France du roman d’anticipation scientifique. Il s’éteint en 1905 bien avant la concrétisation des avancées technologiques qu’il a anticipées.

A 20 ans, il s’installe à Paris pour y faire son droit ; la gloire et le théâtre l’intéressent davantage. Dès lors, il exerce diverses activités et poursuit en parallèle une carrière d’auteur, estimable mais sans grand succès. Pendant ses loisirs, il étudie géographie, physique et mathématiques ; chez l’explorateur Arago, il rencontre de nombreux voyageurs et géographes, qui lui ouvrent la porte de pays lointains et de terres vierges. De nombreuses visites à la Bibliothèque Nationale lui permettent d’acquérir un vocabulaire à la mesure de la tâche qu’il se fixe : écrire le « Roman de la science » et faire de celle-ci un sujet d’intérêt pour le public.

En 1863 paraît Cinq semaines en ballon ; le succès est immédiat ! C’est le premier d’une série qui en comporte plus de cent et dont la publication se poursuit sous le titre général : Les Voyages extraordinaires.

Le voyage constitue l’un des axes majeurs de l’œuvre de Jules Verne, tout comme sa prodigieuse capacité d’anticipation scientifique. Ainsi, de nombreux romans décrivent, avec des décennies d’avance, des expéditions qui se révèleront très proches de la réalité. L’éminent explorateur commandant Charcot se plaisait à saluer Les Aventures du capitaine Hatteras comme « le meilleur des livres de bord » ! Passionné par les défis de l’aérostation et de l’aéronautique, Jules Verne fonde en 1862 avec Nadar une Société pour la recherche de la navigation aérienne. Clin d’œil au photographe, il baptise Michel Ardan, anagramme de Nadar, le héros de De la Terre à la Lune. Après les cieux, il explore les abîmes terrestres ou les abysses comme dans Vingt mille lieues sous les mers. Il s’attache enfin à l’histoire contemporaine, qui inspire notamment le célèbre Michel Strogoff.

Jules Verne traverse une intense période de bouillonnement intellectuel, scientifique et technique. Son minutieux travail de documentation sert de matériau de base à une puissante imagination pour créer machines fantastiques et mondes mystérieux, sans sombrer dans l’invraisemblance. Ainsi, quel que soit le thème de l’aventure, la rigueur qui préside à la rédaction de ses œuvres de fiction leur donne l’apparence de récits. «  Jules Verne ! Quel style ! rien que des substantifs. » (Guillaume Apollinaire).

Que le progrès technique ait rejoint ou dépassé ses intuitions, peu importe ! Le génie visionnaire de Jules Verne réside dans sa capacité à nous entraîner dans un voyage toujours… extraordinaire !

Maître-assistante à la Haute École Charlemagne en Belgique, Frédérique Vervoort réside à Liège. Franco-belge, elle demeure attachée à l'héritage culturel de ses deux pays d´origine.

L'écriture la passionne depuis toujours, mais c'est seulement maintenant qu'elle prend le temps de s'y consacrer et de partager avec les lecteurs ce qui n'était, jusqu'alors, qu'un plaisir personnel.

Ses romans et nouvelles nous plongent dans une atmosphère intimiste et mystérieuse. Suspense garanti pour ce remarquable auteur qui marche sur les traces de Simenon.

Retrouvez Frédérique Vervoort dans ses romans Mortelle absence, Le jeu de la poupée, Femme hors champ, Amnesia, Mater dolorosa, Contre-jour, Voie(s) de traverse, La Bienveillante, son recueil de nouvelles Mytho et dans ses nouvelles La Voisine, Voie lactée et En attendant Claire.

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François-Marie Arouet, dit Voltaire est un philosophe et écrivain français (Paris, 1694-1778).

 Fortuné et brillant, Voltaire est d’abord connu comme bel esprit et poète mondain. Bien qu’introduit à la cour, ses impertinences et une mauvaise querelle avec le rejeton d’une illustre famille l’amènent à s’exiler en Angleterre (1726-1729). De retour à Paris, ses Lettres philosophiques (1734) témoignent de son admiration pour le régime libéral anglais ; ses jugements critiques sur la religion, les sciences, les arts, la politique ou la philosophie le contraignent à se réfugier en Champagne chez son amie madame du Chatelet, sa « divine Émilie ».

 Après presque dix ans d’éloignement, Voltaire, de retour en grâce, tire la leçon de ses mésaventures dans le fameux conte critique Zadig (1747). Avec Micromégas (1752), il affirme son goût et son talent pour le conte philosophique. La mort d’Émilie et la faveur déclinante du public lui font accepter l’invitation de Frédéric II à Berlin (1750-1753). Plus amuseur que conseiller, il quitte la Prusse, non sans mal, déçu et amer.

Indésirable tant à Paris qu’à Berlin, il s’installe près de Genève. Il termine son histoire universelle, L’Essai sur les mœurs et l’esprit des nations, parallèlement au poème Sur le désastre de Lisbonne (1756) dont le pessimisme est repris dans Candide (1759). Installé désormais à Ferney (1759), il accueille d’innombrables visiteurs, entretient une vaste correspondance et se querelle avec ses curés, son évêque, les pasteurs de Genève, Rousseau, etc.

 L’essentiel de son activité littéraire est consacré à diffuser ses idées philosophiques. Ses courageuses interventions en faveur de victimes de l’intolérance (Calas, Sirven etc.), ses nombreux ouvrages de lutte contre toutes formes de superstition, en particulier, le Traité sur la tolérance (1763) et le Dictionnaire philosophique (1764) lui assurent une immense popularité internationale. Considéré comme le champion de la tolérance, il fait à Paris un retour triomphal et meurt à quatre-vingt-quatre ans dans la ferveur populaire.

 L’œuvre de Voltaire témoigne d’un esprit toujours en éveil. S’il aborde tous les genres avec une intelligence lucide et cultivée, la partie la plus vivante de son œuvre reste ses Contes philosophiques. Sa prose alerte et spirituelle est une arme redoutable pour se frayer un chemin vers « toutes les oreilles ». Voltaire nous exhorte à remettre en cause institutions sociales et politiques, nous enseigne à rejeter ces « vérités essentielles » qui ne sont que mensonge et routine de la pensée. Il affirme sa foi en une morale altruiste et une civilisation perfectible, gouvernées par la raison.

Gérard Wenker pseudo littéraire Blaise Le Wenk.

Né à Genève en 1934 - Agrobiologiste. Retraité. Philosophe. Écrivain. Pacifiste. Mondialiste. Aventuriste et j'en passe...

J'écris depuis que je suis à la retraite, (25 ans déjà) des ouvrages philosophique, métaphysique et quelques romans autobiographiques au format numérique e-Pub et PDF ou Word pour impression sur papier.

Avant de partir pour le grand voyage, je vide mes valises. Pour aller loin, faut voyager léger, alors je m'allège. À mon âge je peux enfin dire tout ce que je veux. Je provoque, je disloque, je soliloque, je me moque. 

Ayant eu une vie longue et aventureuse ma mémoire déborde. 1000 mois que je vis cette vie. Ce quelle fut, ce quelle est ? Vous allez l'apprendre dans mes romans ou je dévoile mes deux faces, la sombre et la lumineuse.

Ce n'est pas du littéraire, c'est de la vraie vie : tendre, ardente, amoureuse, violente, mortel.

Né le 11/11/1991 à kalima en république démocratique du Congo dans la province du maniema. J'ai grandi à kalima comme ma ville natale, et j'ai presque poursuivi toutes mes études dans cette belle ville du Maniema (kalima). Je suis né dans une famille chrétienne ;alors je me suis engagé à s'attacher dans l'amour de christ qui surpasse tout! Et je suis grandi dans cette belle éducation (la parole de Dieu). Et aujourd'hui nous sommes c'est que nous sommes c'est par rapport à la volonté du seigneur